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    Mort du journaliste, écrivain et critique Michel Polac à 82 ans

    Publié le mercredi 08 août 2012 à 07H57 - Vu 211 fois


     
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    Michel Polac, le 13 novembre 2005 dans les studios de France Inter


     

     

    Michel Polac, journaliste, écrivain, critique et producteur de radio-télévision, notamment de la célèbre émission "Droit de réponse" et de la tribune des critiques "Le Masque et la Plume", toujours à l'antenne, est mort mardi à l'âge de 82 ans.

    Au cours d'une longue carrière, il a été présentateur de plusieurs émissions littéraires à la télévision et a notamment créé en 1955 "Le Masque et la Plume", consacrée aux livres, au théâtre et au cinéma, qu'il a animée jusqu'en 1970.

    Il avait fait l'événement en étant renvoyé de TF1, après la privatisation de la chaîne en 1987, à la suite d'une ultime édition de "Droit de réponse".

    Selon sa famille, Michel Polac est mort "d'épuisement après plusieurs maladies".

    Né à Paris en 1930, il fait ses débuts comme producteur et animateur en 1951 à la Radiodiffusion télévision française (RTF) devenue ORTF.

    Michel Polac est parallèlement critique dramatique et chroniqueur au journal Arts (1953-64), puis critique littéraire à l'Express.

    Première émission polémique de débats à la télévision, "Droit de Réponse", diffusée sur TF1 le samedi à partir de 1981, reste dans les mémoires pour ses soirées particulièrement animées, frisant parfois le pugilat.

    Un dessin de Cabu, "Une maison de maçon, une télé de m...", brandi à l'antenne par Michel Polac, lui sera fatal. Désormais propriétaire de TF1, Francis Bouygues le congédie, signant ainsi la fin de cette émission culte, qui lui avait valu l'année précédente le "7 d'Or" du meilleur animateur.

    Epitaphe

    Il devient alors chroniqueur pendant dix ans à l'Evénement du Jeudi et anime l'émission "Libre et change" jusqu'en 89. Collaborateur de France Inter jusqu'en 2005, il tient aussi une rubrique régulière dans Charlie Hebdo.

    De septembre 2006 à juin 2007, il participe comme chroniqueur à l'émission de Laurent Ruquier "On n'est pas couché", sur France 2.

    "Je lui dois une grosse partie du succès d'ONPC. Il était le gage de la liberté d'expression", a écrit l'animateur sur Twitter.

    "C'est vrai, il n'était pas objectif, a dit pour sa part Jean-François Kahn sur RTL. Il allait dans un sens comme un commissaire de police qui s'est mis en tête qu'un type est coupable. Mais en même temps il laissait la parole à toutes les sensibilités".

    Pour Bernard Pivot, "le secret de Michel Polac, c'est qu'il faisait des émissions, d'actualité ou littéraires, auxquelles il aurait aimé être invité".

    L'animateur actuel du "Masque et la Plume", Jérôme Garcin, a raconté sur France Inter que Michel Polac avait écrit son épitaphe: "+Touche-à-tout, il a fini par toucher terre+. Ca, c'était Polac", a-t-il dit.

    Le président François Hollande lui a rendu hommage, jugeant qu'il "aura marqué, par ses émissions impertinentes et indépendantes, les esprits de millions d'auditeurs et de téléspectateurs". Pour la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, il était "un authentique pionnier de la télévision" et "au sens le plus fort et le plus beau du terme, un homme de lettres".

    Auteur de plusieurs romans et essais, Michel Polac a notamment publié "Une vie Incertaine" (1956, réédité en 2007) et, en 2000, des extraits de son journal intime couvrant la période 1980-1998.

    Il a réalisé plusieurs films et téléfilms dont son "Autoportrait en vieil ours" en 1998 et "Un fils unique" (prix Georges Sadoul 1970), ainsi que des documentaires, dont l'un consacré à Céline.


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    Mouss Diouf au Zenith de Paris en mars 2004.

    Mouss Diouf au Zenith de Paris en mars 2004.© Joel Robine / AFP


    Par CultureBox (avec AFP) Mort du comédien et humoriste Mouss Diouf

     

    Mouss Diouf, qui a interprété des années durant l'inspecteur N'Guma dans la série télévisée "Julie Lescaut", avait été victime de deux accidents vasculaires cérébraux (AVC) en 2009 qui l'avaient laissé dans un état critique.Révélé au grand public dans la série "Julie Lescaut", le comédien et humoriste Mouss Diouf est mort dans la nuit de vendredi à samedi à l'âge de 47 ans "des suites d'une longue maladie", a fait savoir sa veuve Sandrine Diouf.


    C'est sur la scène du Théâtre du Gymnase, à Paris, le 23 février 2009, pendant un one man show, que Mouss Diouf avait subi son premier AVC.

    Son ami humoriste Anthony Kavanagh, présent dans la salle ce soir là, s'était inquiété face aux trous de mémoire et aux problèmes d'élocution du comédien. Pressentant un AVC pour avoir déjà vu sa grand-mère en proie à un tel accident, Anthony Kavanagh s'était rendu dans les coulisses pour alerter le producteur, qui avait aussitôt interrompu le spectacle pour faire hospitaliser Mouss Diouf.

    Souffrant de séquelles physiques importantes, et privé de l'usage de la parole notamment, il avait par la suite été admis dans un centre de réadaptation fonctionnelle.

    Selon son producteur Michel Nouader, l'état de santé de l'artiste s'était nettement dégradé au cours des derniers jours et il avait sombré dans le coma.

    Formé sur le ring par Ferrara
    Né à Dakar en octobre 1964 sous le nom de Pierre Moustapha Diouf, l'acteur était arrivé à Paris à l'âge de 3 ans. Il avait grandi à Bobigny (Seine-Saint-Denis) où il avait obtenu un diplôme de serrurier. 

    Son physique imposant l'incitera à pratiquer la boxe et il aura sur le ring pour partenaire d'entraînement le champion Stéphane Ferrara, précise la biographie de son site officiel . Après 17 combats amateurs, il raccroche les gants et se consacre, tout comme son ami boxeur, à la comédie.

    Vocation précoce ou signe du destin, Mouss Diouf avait joué peu avant son départ du Sénégal le rôle d'un enfant dans le film "Le Mandat", du célèbre romancier et réalisateur sénégalais Sembène Ousmane.

    C'est en accompagnant Stéphane Ferrara à une audition que Mouss Diouf rencontre Jérôme Savary qui lui offre immédiatement un rôle de berger dans La Femme du Boulanger. "Mais enfin Jérôme, il est noir et le berger ne peut pas être noir", plaide le producteur. Qu'à cela ne tienne, Jérôme Savary l'engagera peu après dans "Le bal des cocus" avec Anémone.

    Mouss Diouf fera ensuite des apparitions à l'écran avec un petit rôle dans "Astérix" au cinéma et dans de nombreuses séries télé ("David Lansky" avec Johnny Hallyday, "Navarro", etc.)
    Mais c'est surtout son rôle de Justin N'Guma dans "Julie Lescaut", diffusée de 1992 à 2006, qui aura marqué le grand public.

    Réactions
    La ministre de la Culture Aurélie Filippetti a rendu hommage dans un communiqué samedi à "La générosité de ce comédien populaire et humaniste (qui) manquera au monde du spectacle et au public".

    De nombreux amis lui ont rendu hommage samedi sur Twitter, comme Pascal Nègre, président d'Universal Music France se souvenant du "bruit de nos éclats de rire nocturnes dans les années 90".

    "Je garderai en souvenir son rire, sa gentillesse, sa générosité, sa force", écrit l'animateur de télévision Nagui, tandis que Michel Denisot évoque un homme "généreux, drôle, passionné, fidèle".

    "Ciao Mouss. C'était bien... Repose en paix", lui lance le chanteur Pascal Obispo.

    L'association SOS Racisme, "profondément peinée par une disparition si précoce", a quant à elle salué la mémoire d'un "fidèle et historique soutien, qui a notamment fortement contribué aux premiers succès de +Rire Contre le Racisme+".

    Le comédien et humoriste Mouss Diouf est décédéLe comédien et humoriste Mouss Diouf est décédé


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    Thierry Roland est décédé à l'âge de 74 ans

     

    A.C. avec AFP | Publié le 16.06.2012, 08h35 | Mise à jour : 10h43

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    Le commentateur sportif Thierry Roland, voix de légende du football à la télévision, qui avait dû renoncer in extremis à commenter l'Euro 2012 avec son complice Jean-Michel Larqué, est décédé à l'âge de 74 ans, a annoncé samedi la direction de la chaîne M6.

    Le commentateur sportif Thierry Roland, voix de légende du football à la télévision, qui avait dû renoncer in extremis à commenter l'Euro 2012 avec son complice Jean-Michel Larqué, est décédé à l'âge de 74 ans, a annoncé samedi la direction de la chaîne M6. | AFP/ FRANCK FIFE

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    Le monde du  a perdu l'une de ses voix de légende. La chaîne de télévision M6 a annoncé ce samedi matin le décès de Thierry Roland, à l'âge de 74 ans. Le journaliste et commentateur sportif avait renoncé cette semaine à commenter l'Euro-2012, n'étant pas totalement remis de son opération. <btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; "> </btn_noimpr>La date précise et les causes du décès n'ont pas été spécifiées. Selon Jacques Vendroux, journaliste de Radio  et proche de Thierry Roland, ce dernier serait décédé d'un accident vasculaire cérébral dans la nuit de vendredi à samedi. 

    Jean-Michel Larqué est apparu en larmes samedi depuis Kiev à l'annonce du décès de son complice avec lequel il aurait dû commenter l'Euro 2012 sur M6, avant que ce dernier n'y renonce in extremis, insuffisamment remis d'une opération liée à un calcul biliaire. «Il se faisait une telle joie de reformer le tandem. Il est parti sans ça. Le plus terrible, c'est que sa dernière joie, j'aurais pu la lui procurer», a déclaré, en sanglots, le journaliste interrogé en direct sur BFM-TV/RMC.

    Le sélectionneur de l'équipe de France Laurent Blanc a lui aussi tenu samedi à présenter ses condoléances à la famille du commentateur sportif Thierry Roland, décédé à l'âge de 74 ans, après avoir observé un moment de recueillement juste avant le début de la conférence de presse. «Je souhaite présenter mes condoléances à sa famille de la part de l'équipe de France, du staff et des joueurs, a déclaré Blanc. C'est un amoureux du sport qui disparaît, ça nous a beaucoup touchés.»

    Thierry Roland devait faire son grand retour aux côtés de Jean-Michel Larqué lors du match France-Ukraine. «L'opération s'est bien passée. Mais ça reste récent, et je suis encore en période de convalescence. Je suis courbatu, j'ai des petits spasmes à droite à gauche. Donc très sincèrement, je ne me sens pas le courage d'aller en Ukraine», expliquait le commentateur sportif cette semaine. Thierry Roland, qui souffrait de calcul biliaire depuis plusieurs années, avait dû être opéré vendredi à la suite d'une complication. 

    L'Euro 2012 devait signer le grand retour du duo mythique qu'il a formé avec Jean-Michel Larqué, alors qu'ils n'avaient plus commenté de grande compétition internationale depuis l'Euro 2004. Les deux compères s'étaient néanmoins brièvement retrouvés à l'antenne, en septembre 2011, déjà sur M6, pour commenter le match Roumanie-France comptant pour les éliminatoires de l'Euro-2012. En près de 57 ans de carrière, le journaliste de 74 ans a commenté 13 Coupes du Monde et 9 Championnats d'Europe des Nations. Le journaliste était aussi populaire que controversé pour ses débordements verbaux et ses saillies franchouillardes.

    Après avoir annulé sa venue en Ukraine, Thierry Roland s'était confié sur ses projets : «Après à la rentrée, je reprendrai avec Jean-Marc Ferreri puisque M6 a obtenu les droits de l'Europa League. Et je pourrai faire quelques matches avec Jean-Michel Larqué pour la coupe du monde du Brésil si on obtient quelques matches, et pour l'Euro-2016 dans tous les cas».

    AUDIO. Thierry Roland et TF1 : «Je ne suis pas rancunier» (2009)


     

    LeParisien.fr 


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    Musiciennes - Portugal

    Amalia Rodrigues

     

     

    La "diva" du fado

    Musicienne (01/07/1920 - 06/10/1999)

     


    Amalia Rodrigues fait partie de ces artistes rares qui parviennent à incarner toute une culture. Pour le monde entier, sa voix bouleversante et la puissance de son interprétation en ont fait l’âme du Portugal.

     

    L'héritière du fado portugais



    Cinquième d'une famille de neuf enfants, Amalia Rodrigues est élevée par sa grand-mère maternelle. Elle commence dès 1939 à chanter des textes du compositeur Joaquim José de Lima dans les "maisons de fado" de Lisbonne, et notamment au club Retiro da Severa, sous le nom d'Amalia Rebordao. La jeune femme est en effet attirée depuis toujours par le fado, ce chant populaire portugais nostalgique et sensuel importé du Brésil au XIXe siècle à Lisbonne. Au Solar da Alegria, au Café La Gare, au Luso ou au Café Mondego, Amália reprend la gestuelle d'Alfredo Duarte Marceneiro, autre père du fado. C’est donc figée, les yeux fermés et l’expression pleine de supplice que la jeune femme interprète ses chants.

    Soixante ans de carrière internationale

    Madrid la découvre en 1942, suivi du Brésil deux ans plus tard, où elle enregistre un album. Elle y reviendra souvent, comme à Paris, où elle chante pour la première fois en 1949, chez Carrère, une boîte chic. En 1955, en jouant dans les Amants du Tage d'Henri Verneuil, Amalia accède à l'international. En 1956, l'Olympia la voit sur scène, soufflant la vedette aux Compagnons de la Chanson, à la veille de l'immigration portugaise. Suivront ensuite l'ABC, Bobino… où elle interprète, en français "Aïe mourir pour toi" de Charles Aznavour en 1957. 

    Désormais, Amalia est le Portugal. Sa présence sur scène et sa voix inimitable expliquent son rayonnement national et international. Mais la révolution des œillets de 1974 l’empêche de continuer à chanter le fado car on lui reproche de servir la dictature du Doutor Salazar. Elle doit alors attendre que les intellectuels récupèrent le fado pour resurgir. 



    Mais cette incarnation vivante de l'âme portugaise parvient sans mal à revenir sur le devant de la scène et dès 1985, elle triomphe dans la salle du Coliseu de Lisbonne. Décorée par le président de la République Mario Soares en 1990, elle fait ses adieux à la scène et s'installe au Portugal, au terme de soixante ans de carrière. Avec plus de cent-soixante-dix disques à son effectif, et une douzaine de films, on la compare parfois à la Callas. Elle décède à Lisbonne le 6 octobre 1999, à l’âge de 79 ans. Les restes de la chanteuse ont été transportés au Panthéon National de Lisbonne. C’est la première femme, parmi les Portugais illustres, à y entrer. Sa mort a été un choc pour l'ensemble des Portugais.


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    EN IMAGES. Bee Gees: Robin Gibb, 1949-2012


    • Robin Gibb est mort dimanche à l'âge de 62 ans après une longue bataille contre le cancer, a annoncé sa famille dans la nuit de dimanche à lundi.

      SEBASTIAN WILLNOW / DDP / AFP

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    Robin Gibb, le chanteur du groupe britannique emblématique des Bee Gees, est  dimanche à l'âge de 62 ans après une longue bataille contre le cancer, a annoncé sa famille, neuf ans après son jumeau Maurice.

    Né le 22 décembre 1949 sur l'île britannique de Man d'un père batteur et musicien, une demi-heure avant Maurice, Robin Gibb a succombé à un cancer du foie et de l'estomac, compliqué par une pneumonie, qui le laissait émacié ces derniers mois derrière ses petites lunettes bleues. 
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    Du groupe fondé avec son jumeau et leur aîné de trois ans, Barry, en Australie où la famille avait émigré en 1958 et où ils récoltèrent leurs premiers succès, il était le leader et l'épine dorsale. Dès leur retour en Angleterre en 1967, ils accèdent à la renommée mondiale avec un hit soigneusement marketé, "New York Mining Disaster 1941" et s'accrochent pour de bon au sommet des hit-parades des années 70, même si chacun d'eux a un temps testé une carrière en solo.

    Mais le succès devient viral en 1977-78 quand les principaux titres de "Saturday Night Fever", le de John Badham, se mettent à tourner en boucle sur les radios et dans les discothèques du monde entier, transformant toute une génération de jeunes dragueurs en  (qui récidive l'année suivante dans "Grease"). "Stayin' Alive", "How Deep Is Your Love", "Night Fever", "You Should Be Dancing"... assurent la fortune de leurs auteurs-interprètes: à la fin de la décennie 70, les frères Gibb deviennent les seuls chanteurs au monde à avoir aligné simultanément cinq titres dans le Top Ten.

    Courtisés, ils produisent et écrivent pour d'autres artistes comme Barbara Streisand, Diana Ross ou Dolly Parton et Robin écrit et produit notamment l'album "Sunrise" du vétéran de la Soul, Jimmy Ruffin.
    Après un retour au premier plan des ventes internationales en 1987 avec le single "One", un show acclamé à Las Vegas, ils se lancent en solo.

    Après le décès brutal de Maurice en janvier 2003, Robin était devenu le gardien de la mémoire Bee Gees. Depuis 2010, des problèmes de santé l'avaient contraint à annuler plusieurs fois des dates de tournées. En février 2012, après l'ablation d'une tumeur au colon, il avait assuré se rétablir de façon «spectaculaire». Mais suite à une pneumonie, son état s'était rapidement détérioré ces derniers temps et Robin Gibb, hospitalisé, n'avait pas pu assister à la première à Londres de «The Titanic Requiem», sa première composition classique marquant le centenaire du naufrage de ce paquebot de légende.

    Robin Gibb qui y interprète une chanson, «Don't Cry Alone» («Ne pleure pas seul, relevait dans la bande annonce du Requiem, enregistrée par le prestigieux Royal Philharmonic Orchestra: «La musique n'a pas nécessairement besoin d'être compliquée. Il faut qu'elle fasse écho à l'esprit humain» - comme un saisissant raccourci pour l'ensemble de son oeuvre.

    Les Bee Gees ont vendu plus de 200 millions d'albums, preuve qu'ils savaient toucher les foules au coeur

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