• ingrédients
    pour Pavé de saumon au citron

        2 pavés de saumon fais ou surgelés
        1 oignon émincé
        2 jus de citrons
        2 c à soupe ,de creme fraîche 15%mg
        1 c. à soupe d'huile d'olive
        sel, poivre

    Résumé
    pour Pavé de saumon au citron
    Cette recette peut aussi se faire avec d'autres poissons sans problème. Bon appétit à tous !
    Préparation
    pour Pavé de saumon au citron


    Faites revenir sans trop le colorer l'oignon émincé dans de l'huile d'olive de préférence.


    Ajoutez les pavés de saumon, laissez cuire environ 5 min, incorporez les jus de citrons,et laissez cuire environ 30 min à couvert,
    a jouter la crème fraîche salez, poivrez.


    Surveillez qu'il reste du jus, sinon complétez avec un peu d'eau.

    vous pouvez servir avec un riz blanc ou des tagliatelles fraîche


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  • Recommandations sanitaires en période de grand froid et de froid extrême

    Recommandations sanitaires en période de grand froid et de froid extrême

     

    Le grand froid, le vent glacé, la neige sont des risques météorologiques qui peuvent être dommageables pour la santé (gelures, hypothermies, déclenchement de crises d’asthme et d’angines de poitrine, développement d’infections broncho-pulmonaires…). Leurs effets sont insidieux et peuvent passer inaperçus. Il faut donc redoubler de vigilance.

    La Direction générale de la santé rappelle les principales mesures à adopter pour prévenir les conséquences du froid sur la santé, notamment pour les populations vulnérables (sans-abri, nourrissons, personnes âgées ou présentant certaines pathologies chroniques cardiovasculaires, respiratoires ou endocriniennes).

    En cas de grand froid ou de froid extrême  :

    • Limitez les activités extérieures si vous faites partie des personnes à risque. Sauf nécessité impérative, évitez de sortir avec votre nourrisson en période de grand froid.
    • Le froid demande des efforts supplémentaires à l’organisme, et notamment au coeur qui bat plus vite pour lutter contre le refroidissement. Ainsi, vaut-il mieux limiter les efforts physiques même lorsqu’on est en bonne santé.
    • Si vous devez tout de même sortir à l’extérieur :
      • Adaptez votre habillement : pensez à vous couvrir la tête et à vous munir d’une écharpe pour recouvrir le bas du visage et particulièrement la bouche. Habillez-vous très chaudement. De plus, de bonnes chaussures permettent d’éviter les chutes.
      • Soyez particulièrement vigilants pour les nourrissons et les enfants. Evitez de placer votre nourrisson dans un porte-bébé, susceptible de comprimer ses membres inférieurs et d’entraîner des gelures. Il est préférable que votre enfant soit transporté dans les bras, un landau ou une poussette afin qu’il puisse bouger régulièrement pour se réchauffer.
    • À la maison :
      Une des conséquences indirectes du froid est le risque accru d’intoxication par le monoxyde de carbone, première cause de mortalité par toxique en France. De ce fait :
      • Assurez-vous du bon fonctionnement des ventilations et des appareils de chauffage qui doivent avoir été entretenus avant utilisation. Ne faites pas surchauffer les poêles à bois ni les chauffages d’appoint en raison des risques d’incendie et d’intoxication au monoxyde de carbone. Les chauffages d’appoint fonctionnant avec des combustibles (ex : kérosène) ou de camping sont à proscrire pour les mêmes raisons.
      • En cas d’utilisation, installez impérativement les groupes électrogènes à l’extérieur des bâtiments, ils ne doivent jamais être placés à l’intérieur.
      • Ne surchauffez pas votre logement mais chauffez normalement en vous assurant de sa bonne ventilation (n’obstruez pas les bouches d’aération).

    Pensez également à prendre régulièrement des nouvelles des personnes âgées ou handicapées et/ou isolées de votre voisinage ou entourage. Enfin, n’hésitez pas à appeler le 115 si vous remarquez une personne sans abri ou en difficulté dans la rue.

    Pour plus d’informations sur la situation précise de votre département ainsi que les mesures spécifiques mises en oeuvre localement, veuillez suivre les recommandations émises par votre préfecture ou consulter son site Internet.


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    Novembre et ses frimas, novembre le mois trop long qui précède le joyeux et rondouillard mois de décembre à l'image de son père noël et de ses festivités tant attendues.

    Novembre, le mois où il faut patienter, mais où timidement les premières vitrines se parent d'atours dorés pour mieux tenter le chaland. Pourquoi ne pas tromper son impatience en s'évadant de la grisaille métropolitaine pour filer à la réunion ou en guadeloupe et s'étirer sur les plages de sable blanc en oubliant que c'est novembre. Ou bien encore aller au festival de novembre organisé par le centre chorégraphique national de tours avec sa programmation atypique et ses artistes imaginatifs.
    Pauvre mois novembre, bien engoncé entre halloween et noël, avec pour seule fête la toussaint loin d'être aussi conviviale que ses rivales, même si elle tient plus à coeur que sa cousine d'outre atlantique. Novembre ou les feuilles ont définitivement quitté les arbres les laissant à nu ne cachant plus l'arrivée de l'hiver et l'automne déjà bien avancé.

    Le mois des feux de bois, réchauffant les êtres blottis près des cheminées avec des tasses fumantes de liquides reconstituants après de grandes promenades en ville ou en forêts. Une annonce frémissante et si la neige était là cette année la sens-tu mois de novembre, viendra-t-elle avec ton grand frère décembre? Un vrai hiver enfin, débuté avec toi, car peu importent les dates le froid lui n'attend pas, il est à nos portes.

    Au revoir novembre à l'année prochaine.


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  • Georges Lautner, le père des "Tontons flingueurs", est mort

     

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    Georges Lautner devant une affiche des "Tontons flingueurs", en 2002.

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    Cinquante ans après la sortie en salles des Tontons flingueurs, son film le plus célèbre, le réalisateur Georges Lautner est mort vendredi 22 novembre à Paris des suites d’une longue maladie à l’âge de 87 ans. Avec Gérard Oury, il aura symbolisé la comédie populaire à la française qui, dans les années 1960 et 1970, fit les beaux jours des salles de cinéma. A eux seuls, les films de Lautner – une quarantaine au total – totalisent 50 millions d’entrées. Sans compter leurs innombrables diffusions à la télévision.

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    "Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît" : lorsqu’il naît à Nice le 24 janvier 1926, rien ne dit que le petit Georges Lautner deviendra l’auteur d’un film dont les répliques – signées Michel Audiard – sont devenues cultissimes. Si son père, un joaillier aviateur, n’a pas grand-chose à voir avec le cinéma, sa mère, Renée Saint-Cyr, est en revanche une actrice connue.

    EN 1961 AVEC "LE MONOCLE NOIR"

    Avec elle, il s’installe à Paris. Scolarité sans histoires à Janson-de-Sailly pendant la guerre, le voilà, dès 1950, deuxième assistant de Sacha Guitry sur Le Trésor de Cantenac. En 1958, son premier long-métrage, La Môme aux boutons, passe totalement inaperçu, de même que Marche ou crève, en 1959.

    La carrière de Lautner débute vraiment en 1961 avec Le Monocle noir, un film dans lequel Paul Meurisse interprète le rôle du commandant Théobald Dromard, dit "le Monocle", un agent du Deuxième bureau (suivront plus tard L’ÂŒil du Monocle et Le Monocle rit jaune). Succès public du Monocle noir et rencontre avec Alain Poiré, qui, à l’époque, est déjà un important directeur de production chez Gaumont.

    C’est ce dernier qui a l’idée de proposer à Lautner de tourner Les Tontons flingueurs, une adaptation du roman d’Albert Simonin Grisbi or not grisbi. Après Touchez pas au grisbi (Jacques Becker, 1954) et Le cave se rebiffe (Gilles Grangier, 1961), ce troisième volet de la trilogie consacrée au truand Max le Menteur sera un énorme succès.

    Interprétée par une brochette d’acteurs exceptionnels – Lino Ventura, Francis Blanche, Bernard Blier, Jean Lefebvre, Robert Dalban… –, cette parodie de films policiers raconte les démêlés de Fernand Naudin (Lino Ventura) avec les frères Volfoni, Raoul (Bernard Blier) et Paul (Jean Lefebvre).

    "J’VAIS LUI MONTRER QUI C’EST RAOUL"

    On y voit Bernard Blier asséner avec morgue des répliques restées parmi les plus célèbres du cinéma : "Mais moi les dingues, j’les soigne, j’m’en vais lui faire une ordonnance, et une sévère, j’vais lui montrer qui c’est Raoul. Aux quatre coins d’Paris qu’on va l’retrouver, éparpillé par petits bouts façon puzzle… Moi, quand on m’en fait trop j’correctionne plus, j’dynamite… j’disperse… et j’ventile."

    Sorti le 27 novembre 1963, ce film culte a été vu en salle par plus de 3,3 millions spectateurs et a été diffusé 16 fois à la télévision (en décembre 2012, sur France 2, il obtenait encore plus de 20 % de part de marché).

    Cette fois, la carrière de Lautner est bel et bien lancée. Il rencontre Mireille Darc, qu’il fait tourner dans une dizaine de films parmi lesquels Des pissenlits par la racine (1963), Les Barbouzes (1964), Ne nous fâchons pas (1966), La Grande Sauterelle (1967). En 1968, Lautner engage Jean Gabin, à qui il avait failli proposer le rôle de Naudin dans Les Tontons flingueurs. Ce sera Le Pacha, autre grand succès public, suivi de Laisse aller, c’est une valse avec Jean Yanne, Bernard Blier et…

    ALAIN DELON, JEAN-PIERRE MARIELLE, PIERRE RICHARD

    Coluche, pour sa première apparition au cinéma. Durant les années 1970, ce raconteur d’histoires, efficace et sans prétention, multipliera les films : Il était une fois un flic (1971), Quelques messieurs trop tranquilles (1972), Les Seins de glace (1974)… Au générique, on trouve aussi bien des acteurs très confirmés (Alain Delon, Jean-Pierre Marielle, Pierre Richard) que des débutants (Gérard Lanvin, Miou Miou).

    Sorti en 1977, adapté du roman éponyme de Raf Vallet, Mort d’un pourri vaut non seulement pour le tandem Delon- Ronet que pour une description sans complaisance des mœurs politiques de la Ve République (l’affaire de la Garantie foncière, scandale politico-financier de la fin de l’ère Pompidou, est évoquée, sans être nommée,). 1979 : c’est le moment de la rencontre avec Belmondo. S’en suivent quelques succès publics retentissants : Flic ou voyou, Le Guignolo, Le Professionnel (plus de 5 millions d’entrées).

    La fin de carrière de Lautner sera en revanche marquée par quelques échecs commerciaux comme Triplex (1991), Room Service (1992) ou encore, la même année, son dernier film, L’Inconnu dans la maison. Ces dernières années, Georges Lautner s’était lancé dans le scénario de BD (On achève bien les cons et la saga "Baraka"). Rien d’impérissable.

    Cinéaste dont les films valent surtout ce que valent leurs acteurs et leurs dialogues, Georges Lautner restera donc avant tout le réalisateur des Tontons flingueurs. Hospitalisé à Paris, il avait dû annuler l’inauguration, à Nantes, d’une rue des Tontons-Flingueurs. En souvenir de ce film merveilleux, une dernière réplique, juste pour le plaisir : "Alors ? Y dors le gros con ?… Bah y dormira encore mieux quand il aura pris ça dans la gueule ! Il entendra chanter les anges, le gugusse de Montauban. Je vais le renvoyer tout droit à la maison mère… Au terminus des prétentieux."


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  • Un voyage à Montréal

    Montréal sur nos forums
     
    L'insaisissable  Montréal... Les Américains lui trouvent un côté européen, les Européens des allures américaines sous certains aspects... vous l'aurez compris Montréal, ville du Canada, ne se définit pas facilement. Enfin, si, tout le monde se met d'accord sur son charme, son ambiance nonchalante et son cosmopolitisme.

    La seconde métropole francophone après Paris possède une mosaïque de quartiers à l'architecture et aux influences variées, des musées remarquables, quelques agréables espaces verts, le tout rehaussé par un vie culturelle et nocturne intense.

    Le Vieux-Montreal a fait l'objet d'une restauration réussie. La place d'Armes, la place Jacques-Cartier, la Basilique Notre-Dame, le Château Ramezay sont autant de monuments historiques, retraçant l'histoire de la petite colonie française Ville-Marie, l'ancêtre de Montréal. Le centre-ville reflète quant à lui la prospérité économique d'aujourd'hui. Le quartier chinois, le quartier latin, la ville souterraine, le VillageÂ… le visiteur découvre que Montréal est avant tout une ville de quartiers, dont chacun se distingue des autres.

    Enserrée entre le Mont-Royal, ici que l'on surnomme simplement « la montagne», et le fleuve Saint-Laurent, Montréal est loin d'être une ville prisonnière de son urbanisme. D'ailleurs, pour la préserver de toute spéculation commerciale, le Mont Royal fut racheté par la ville en 1875, pour la modeste somme d'un million de dollars (!). Aujourd'hui les Montréalais apprécient se promener dans les sentiers du parc du Mont-Royal et pratiquent diverses activités : vélo, jogging, patin à glace et même ski de fond en hiver !

    Autre aspect et pas des moindres : la vie culturelle montréalaise. Elle s'est hissée parmi les plus « en vue » de la planète. Salles de spectacle et théâtres proposent des créations classiques aussi bien qu'avant-gardistes. De plus, la ville accueille chaque année un chapelet de festivals d'envergure internationale : Festival de jazz, Festival des films du monde, Festival Juste pour rire, FrancoFoliesÂ…...

    Enfin, le visiteur pourra goûter l'animation nocturne des bars et discothèques. Le quartier latin et le Village, le quartier gay, sont tout indiqués en matière de sorties.

    • Histoire de Montréal

    Montréal fut fondée en 1642 par un groupe de prêtes et religieuses conduit par Paul Chomedey de Maisonneuve. Ces derniers  établirent une colonie baptisée Ville-Marie afin d'évangéliser les Indiens de la Nouvelle-France. On sait que Jacques Cartier le précéda et passa dans cette région en 1535. Toutefois c'est véritablement avec Paul de Chomedey que la ville fut instaurée. Ville-Marie se développa grâce au commerce des fourrures.

    En 1760, les Britanniques s'emparent de la ville et une vague d'immigrants venant d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande débarquent à Montréal. Le Traité de Paris de 1763 concède la Nouvelle-France à la Grande-Bretagne. Au milieu du XIXème siècle, Montréal compte 58 000 habitants, majoritairement anglophones.

    La ville connaît un fort développement économique, notamment grâce à la construction de réseaux de chemin de fer et du canal de Lachine, permettant aux bateaux de franchir les rapides au sud de l'île. Une bourgeoisie anglophone profite de cet essor et prend les rênes de l'économie.

    Dans les années 1880, de nouvelles vagues d'immigrants Italiens, Russes et Juifs viennent étoffer la population de la ville. Le début du XXème siècle est marqué par l'inflation et le chômage. Les années 1950 voient le développement du secteur bancaire et Montréal devient le centre financier du Canada.

    En 1970, la ville compte plus de deux millions d'habitants. Divers projets d'envergure sont entrepris : le métro, la création de la ville souterraine, une première mondiale.

    Montréal accueille des événements majeurs qui bouleversent le paysage montréalais : l'Exposition universelle de 1967 et les Jeux Olympiques de 1976. Dans la seconde moitié du XXème siècle, Montréal se fait voler le titre de métropole du Canada par Toronto. En 1992, Montréal a fêté son 350ème anniversaire.

    Météo / Quand partir

    Quelle est la meilleure période pour se rendre à Montréal ? Quel y fait-il en ce moment ? Toutes les infos météorologiques et climatiques.
    » Météo à Montréal

    Passeport / Visa / Formalités

    Pas besoin de visa pour un séjour de moins de 3 mois (ou 6 mois).

    Transports

    Air Transat assure quotidiennement la liaison Paris-Montréal à des tarifs très intéressants (entre 500 et 600 euros pour fin septembre, début octobre). Air Transat offre la possibilité de partir de Paris et de certaines villes de province : Bordeaux, Lyon, Marseille, Nantes, Nice et Toulouse.

    A noter aussi les tarifs préférentiels de KLM (mais avec un arrêt à Amsterdam) ou de certaines compagnies américaines comme US Airways ou United Airlines (mais avec un stop obligatoire aux Etats-Unis avant de rejoindre la destination finale). Pour un séjour clé-en-main d'une semaine, avec un hôtel au centre-ville, il faut compter un peu plus de 1000 euros.

    Un service de navette, « l'Aérobus », relie également l'aéroport Montréal-Trudeau (connu auparavant sous le nom de Dorval) au centre-ville. Il y a un bus environ toutes les 20 ou 30 minutes.
    Un aller simple en taxi, de Montréal-Trudeau au centre-ville de Montréal, a un tarif fixe de 31 $ CA (25 $ US) ou de 12 $ CA (9,75 $ US) par autocar.


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