• Le tartre dentaire en 6 questions Voir aussi Prévenir les maladies parodontales Le constat est clair : personne ne se brosse les dents efficacement. Et pourtant, une bonne hygiène buccale passe avant tout par un brossage des dents régulier et efficace, condition indispensable pour éviter la formation du tartre. Les spécialistes préconisent un détartrage annuel pour garder des gencives les plus saines possibles et ainsi profiter de l'occasion pour rappeler les bonnes habitudes aux patients. Les conseils du Dr Morgan Lowenstein, docteur en chirurgie dentaire, professeur à l'université Paris V-René Descartes. Doctissimo : Comment repérer le tartre ? Tartres Dr Morgan Lowenstein : Le tartre est une calcification de la plaque dentaire, ce gel blanchâtre constitué de salive et des bactéries liés aux restes alimentaires. Il faut différencier la plaque dentaire du tartre. Si la plaque dentaire n'est pas éliminée par le brossage, le tartre va se former. Le tartre est ce milieu de la survie des bactéries qui se calcifie. Le tartre en lui-même ne pose pas de problème. Par contre, il est poreux et va retenir plus facilement la plaque dentaire. Il est plus difficile d'éliminer la plaque dentaire imbriquée dans le tartre. Il y a des zones inaccessibles au brossage d'où l'importance de faire un détartrage tous les ans. Par exemple, les incisives- dents antérieures du bas, situées sous la langue (en contact avec la salive en permanence) et la face interne des molaires inférieures. L'avantage est qu'on va redonner accès au nettoyage inter-dentaire. Doctissimo : Comment prévenir l'apparition du tartre ? ACTUALITÉ DES MARQUES Des Régions à Croquer avec les Alliances Locales E.Leclerc Voir + Un beau partenariat local entre Françoise, Productrice de Riz et Jean Michel, du centre E.Leclerc d'Istres. Dr Morgan Lowenstein : Le tartre peut se prévenir par un brossage efficace des dents, associé à un système de nettoyage inter-dentaire. En Europe et dans le pays latins, le fil dentaire n'est pas quelque chose de culturel, contrairement aux pays nordiques, Canada et USA, où cette pratique fait partie du brossage, ils l'ont incorporée à la prévention. Il existe deux techniques de brossage : - La technique dite de Stillman, indiquée pour les gencives fines (mouvement du rouleau avec une brosse à dents manuelle de la gencive vers la dent). A répéter 6 à 8 fois par groupe de 2 dents. Au rythme de 2 fois par jour, 3 fois en cas de parodontites. - Autre technique : celle de Bass, qui consiste à brosser ses dents moitié à cheval sur la gencive et la dent en faisant des petits mouvements circulaires, indiquée pour les fumeurs par exemple. Le dentifrice au fluor est préférable. Doctissimo : Quels sont les effets de l'accumulation de tartre ? Dr Morgan Lowenstein : Ce qui induit des pathologies, c'est la plaque dentaire. Le tartre en soi n'est pas agressif. Le détartrage sert à rendre le brossage efficace et éviter que la plaque dentaire ne se reforme sur le tartre. Un détartrage sans correction de la technique de brossage n'a pas d'intérêt. La présence de la plaque dentaire aura un effet sur l'apparition de gingivites. Si on laisse s'accumuler le tartre, il faudra observer la réponse inflammatoire de la gencive. Souvent, c'est le cas quand il y a un défaut de la technique de brossage, au niveau face interne des molaires. Le signe qui doit alerter, c'est le saignement au brossage. Une grosse majorité des patients ont l'impression de s'abîmer la gencive en frottant et évite donc la zone ; c'est une erreur, il faut faire l'inverse. Il s'agit d'une zone qui n'est pas assez nettoyée, il faut insister. Doctissimo : À quel rythme le tartre se forme-t-il ? Dr Morgan Lowenstein : Le pH intrabuccal et la quantité de salive, propre à chacun, déterminent le rythme de la formation du tartre. Au niveau alimentaire, tout ce qui est acide a tendance à favoriser les caries, les aliments basiques plutôt le tartre. Une plaque dentaire commence à se former 2 à 3 jours sans brossage ou sans accéder à certaines zones. Doctissimo : Combien de fois par an doit-on faire un détartrage ? Dr Morgan Lowenstein : Enlever le tartre, c'est bien. Nous conseillons une fois par an. Des détartrages réguliers limitent l'apparition de parodontites, permettent un accès au patient. À cette occasion, on peut lui corriger ses techniques de brossage, observer sa réponse inflammatoire et agir dessus. Mais empêcher que la charge bactérienne ne soit trop grande, c'est mieux. Une étude d'Axelsson de 1978 a montré que la répétition d'une bonne hygiène orale par le brossage des dents est plus efficace qu'un détartrage. L'avantage du détartrage est d'aller chercher le tartre à des endroits où il est inaccessible au brossage. Un bon détartrage dure au moins au moins 20 minutes. Doctissimo : Quel est le lien entre le tartre et les maladies cardiovasculaires ? Dr Morgan Lowenstein : Les récentes études taiwanaises de 2011, pratiquées sur 100 000 personnes sans antécédents de pathologies cardiovasculaires, qui montrent que le détartrage dentaire diminuerait de 24 % le risque de crise cardiaque et de 13 % le risque d'avoir une attaque cérébrale montrent en réalité que les bactéries buccales peuvent se retrouver dans la circulation sanguine. On a retrouvé des bactéries buccales dans des plaques d' athérosclérose. On sait aussi qu'un déchaussement dentaire non traité augmente le risque de pathologies cardiovasculaires. Cela participe à la formation de ce bouchon vasculaire. L'étape préalable à la maladie cardiovasculaire reste cependant la maladie parodontale, plus que le tartre en lui-même. A noter également les prédispositions qui influencent la réponse inflammatoire du patient : stress, tabac, diabète, génétique, hypertension, etc.


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    Quand le thermomètre grimpe, l’organisme doit s’adapter. Voici des recommandations pour faire face à la chaleur, et même en tirer quelques bénéfices.

    Comment bien supporter la chaleur ?

    Un épisode de canicule signifie qu'une forte chaleur s'installe dans la durée :  il faut pendant au moins trois jours une température de plus de 20 °C la nuit , avec en journée, des températures maximales supérieures à 33° C.

    Mais pas besoin d’une canicule pour commencer à ressentir les effets de la chaleur. «  A partir de 21 °C, l’organisme met en route des mécanismes d’échange de chaleur  », explique le Dr Daniel Gloaguen. Parmi eux : la transpiration et la dilatation des vaisseaux cutanés.

    «  Nous ne sommes pas égaux face à la chaleur : l’intensité des mécanismes d’adaptation dépend certes de la température mais aussi de notre génétique, de notre métabolisme ou encore de notre zone d’habitation  », ajoute le Pr Jean-François Toussaint. Et cette adaptation est progressive. En revanche, si l’on ne parvient pas à évacuer le surplus de chaleur, on risque l’hyperthermie.

    La chaleur augmente le rythme cardiaque

    «  En cas de chaleur, dit le Pr Toussaint, le rythme cardiaque peut augmenter de 10 à 15 pulsations/minute, même au repos, à cause de la vasodilatation cutanée. Le sang se répartit vers les extrémités et le cœur doit pomper davantage et battre plus vite pour irriguer ces zones  ». Au risque, chez les personnes vulnérables, ou lors d’un effort, de faire un malaise cardiaque.

    Ce qu’il faut faire :

    • porter un chapeau de soleil ;
    • éviter les efforts intenses aux heures les plus chaudes ;
    • si on décide de randonner, s’entraîner pour permettre à l’organisme de s’adapter progressivement aux montées de température ;
    • utiliser un cardiofréquencemètre : la fréquence à ne jamais dépasser se situe autour de 220 moins l’âge, soit 180 pulsations/minute si on a 40 ans.

    La chaleur stimule la transpiration

    C’est l’un des mécanismes du corps pour réguler sa température interne. «  Mais pour évacuer la chaleur efficacement, la sueur doit s’évaporer, et non ruisseler à la surface de la peau  », précise le Dr Gloaguen. Si l’on transpire beaucoup, on risque la déshydratation. Mal évaporée, la sueur peut aussi irriter la peau et causer des petits boutons.

    Ce qu’il faut faire :

    • compenser les pertes en eau, en buvant régulièrement , même sans soif. En période de forte chaleur, il faut augmenter ses apports jusqu’à 2 ou 2,5  l. «  Pas besoin de miser sur des boissons enrichies en sodium, car les pertes en sels minéraux sont compensées par l’alimentation  », assure le Dr Toussaint ;
       
    • privilégier les fruits et légumes riches en eau (pastèque, courgette, tomate…), les soupes froides comme le gaspacho ;
       
    • se rafraîchir plusieurs fois par jour en utilisant de manière simultanée brumisateur et ventilateur, ou en prenant une douche. «  Une douche fraîche ou une serviette humide permet de capter le froid et d’éliminer la chaleur par convection  », précise le Dr Gloaguen. Adopter aussi les bons gestes pour garder le plus possible son logement au frais ;
       
    • Enfin, porter des vêtements amples en lin ou en coton permet une meilleure évaporation, et évite les irritations.

    La chaleur favorise la rétention d’eau

    «  Pour évacuer la chaleur, les vaisseaux cutanés se dilatent et le sang se concentre au niveau de la peau et des extrémités, plus vascularisées. Cette vasodilatation perturbe les échanges cellulaires et retient l’eau dans les tissus  », explique le Dr Gloaguen.

    Ainsi, transpiration et rétention d’eau ne sont pas incompatibles. A la clé : des gonflements au niveau des mollets, des pieds et parfois des mains. «  Ces œdèmes sont le signe d’une mauvaise circulation sanguine et lymphatique, mais ils ne sont pas inquiétants, sauf s’ils perdurent plus de deux heures au repos  », rassure le Pr Toussaint.

    Ce qu’il faut faire :

    • si l’on doit rester debout, mieux vaut marcher ou faire des flexions pour relancer la circulation ;
       
    • dès que l’on peut, s’allonger en surélevant les jambes pour favoriser le retour veineux ;
       
    • utiliser le froid, vasoconstricteur : marche dans l’eau froide, massage avec une crème placée au frais...

    La chaleur diminue les douleurs articulaires et musculaires

    Sous l’effet de la chaleur, les muscles et les tendons se détendent : idéal pour soulager les contractures et les courbatures. Mais aussi pour redonner de la mobilité à une articulation qui coince.

    Enfin, la chaleur diminue l’efficacité de la transmission des signaux de douleur : on a souvent moins mal. Son effet sur les articulations dépend cependant de la pathologie : «  Elle est intéressante pour les arthroses avec raideur, comme celle du cou, mais pas pour celles qui ont une composante inflammatoire (certaines arthrites ou rhumatismes)  », précise le Dr Gloaguen.

    Ce qu’il faut faire : si l’on souffre de problèmes articulaires, profiter des périodes chaudes pour sortir, marcher ou pratiquer les activités qui posent problème habituellement, et bénéficier de l’effet antalgique de la chaleur. 

     

    Un plan canicule actif à partir du 1er juin

    Chaque année, au 1er juin, un plan national canicule est mis en place, et le niveau 1 de "veille saisonnière" activé. Le plan comporte quatre niveaux, le dernier correspondant à une vigilance rouge et à une mobilisation maximale. Un numéro d'information est disponible en cas de forte chaleur : 0 800 06 66 66. Un , actualisé deux fois par jour, permet d'être averti en amont des pics de chaleur.


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    Avec la montée des températures, s'hydrater est important. Mais quelles sont les conséquences lorsque l'on boit trop ?

     

    Quelle quantité d'eau faut-il boire en période de canicule ? Quelle quantité d'eau faut-il boire en période de canicule ? Crédit : Closon/ISOPIX/SIPA

     

    Leia Hoarau Leia Hoarau

     

     

    L'eau est indispensable pour la santé, et permet de lutter contre la déshydratation, notamment lors de l'augmentation des températures. D'autant que, selon le site de Santé Publique France, les épisodes de canicule devraient se multiplier et durer jusqu'à 5 fois plus longtemps. D'où l'importance de s'hydrater.

    Composé à plus de 60% d'eau, un corps d'adulte en élimine jusqu'à 2,5 litres par jour à cause de la respiration, de la transpiration, des urines... Remplacer cette quantité d'eau manquante est donc primordial pour que l'équilibre de l'organisme soit maintenu. Le sacro-saint principe du 1,5 litre d'eau par jour, conseillé par les nutritionnistes, est devenu un réflexe chez beaucoup de personnes, notamment en début de grosses chaleurs.

     

    Mais boire en trop grande quantité pourrait être mauvais pour la santé et entraîner de graves conséquences chez certains individus. 

     

     

     

    L'eau se consomme aussi avec modération

    Boire plus d'eau que la quantité nécessaire pour les fonctions de l'organisme n'occasionne pas d'effets bénéfiques. Loin de faire maigrir ou de prévenir les problèmes rénaux, boire trop d'eau (à partir de 3 litres) pourrait en revanche provoquer des conséquences gênantes. 

    Selon Alexandra Murcier, nutritionniste et diététicienne contactée par RTL.fr, "trop boire peut entraîner une perte importante d'ions, de sodium et de potassium et créer ainsi un déséquilibre hydrique". 
    Et, chose étonnante, une intoxication à l'eau est bel et bien possible, notamment pour les potomaniaques qui peuvent consommer une dizaine de litres d'eau par jour ! 

    Des risques existent également chez les personnes souffrant d'hypertension et buvant des liquides trop riches en sel comme les boissons gazeuses ou les sodas.

     

    Savoir trouver un juste milieu

    L'essentiel est de trouver un juste milieu dans sa consommation d'eau et de savoir l'adapter aux différentes personnes. Pour savoir quelle quantité boire, compter 30 ml d'eau par kilo, auxquels s'ajoutent les fruits et légumes. A cela, il faut également ajouter 0,5 litre par degré au-dessus de 38°C.

    Enfin, Alexandra Murcier rappelle les règles de base : "Il faut boire 1,5 litre d'eau pure par jour (une quantité à adapter selon les morphologies et l'intensité de l'activité physique) ; il faut également penser à boire avant d'avoir soif, car lorsqu'on a soif, cela signifie que l'on est déjà en situation de déshydratation ; manger des fruits et des légumes est important également ; pour les grands sportifs, ne pas hésiter à boire jusqu'à 3 litres d'eau avant, pendant et après l'activité physique".


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    C'est bien connu : à l'arrivée de l'automne, nombre de personnes subissent une baisse de moral et une fatigue passagère. Pour certains, cette fatigue survient même à chaque changement de saison. Le point sur les mécanismes en cause et la prévention.

    Les changements de saison, propices à la fatigue

    Les changements de saison, propices à la fatigue

    Que ce soit à l’arrivée du froid de l’automne ou au printemps, lorsque la nature se réveille, il est très courant d’éprouver une fatigue passagère. Si des petites baisses d’énergie sont tout à fait normales en cours d’année, elles ne doivent pas se chroniciser. Ainsi, la fatigue récurrente et persistante liée au changement de saison doit être prise au sérieux. Chez certaines personnes, elle peut altérer considérablement la qualité de vie, en particulier pendant l’hiver.

     

    Le phénomène est de plus en plus étudié et l’on sait aujourd’hui bien le prendre en charge et même le prévenir, notamment grâce à la photothérapie (luminothérapie). Mieux vaut donc réagir à temps pour retrouver toute son énergie rapidement.

     


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    L’hiver est bientôt fini. Dès le milieu du mois, le jardin commence à sortir de sa torpeur. Au potager, poursuivez les récoltes d'endives, épinards, choux, scarole... Plantez ail, oignon, échalote, préparez la plantation des pommes de terre. Semez sous abri ou en pleine terre persil, brocoli, chou-fleur, épinard, laitue, petits pois, fève...

    Que faire au potager en février ?

    Sommaire

    Travaux de jardinage par plantes

    Autres travaux de jardinage

    Maladies des plantes en février

     

    Travaux de jardinage par plantes

    FAMILLES DE PLANTESPLANTES CONCERNEESGESTESDANS LE DETAILSELON LA REGION, LE CLIMAT
    Légumes-fruits aubergine, tomate, piment, poivron, concombre Semer Semez au chaud Dans toute la France
    Légumes-fleurs brocoli, chou-fleur Semer Semez en début de mois, sous châssis pour une mise en pleine terre début avril  Dans toute la France
    Légumes-feuilles laitue Semer Semez la laitue sous abri  Dans toute la France
    chou pommé, chou frisé et chou de Bruxelles, scarole, endive, salsifi, oseille Récolter Récoltez-les et apportez de la verdure fraiche à vos plats ! Pour apprendre à les conserver, lisez notre série de dossiers : conservez vos récoltes.   Dans toute la France
    épinard Semer Semez les épinards (conseils en vidéo) en pleine terre bien exposée  Dans toute la France
    artichaut Planter Plantez des œilletons d’artichauts dans une terre enrichie de compost. Sous climat doux et en bord de mer
    Légumes-racines & -tiges ail (rose), échalote, asperge, oignon Planter Plantez, par temps clément, dans un sol sableux, sur butte en sol très humide  Dans toute la France
    pomme de terre Planter Plantez-les sous abri Dans l'Ouest
    Préparer Mettez à germer les plants dans une cave légèrement chauffée, à la lumière  Dans toute la France
    radis (variétés hâtives), carotte à forcer, navet, panais Semer Semez sous abri chauffé.  Dans toute la France
    poireau, panais, topinambour Récolter Récoltez-les et cuisinez-les ! Pour savoir comment les conserver, lisez notre série de dossiers : conservez vos récoltes Dans toute la France
    Légumes-graines fève Pincer Pincer les fèves et récoltez-les Sous climat doux
    Semer Semez les fèves directement en place Dans toute la France
    petit pois (à grain lisse) Semer Semez les petits pois directement en place après la mi-février.  Dans toute la France
    Bonnes herbes bourrache, camomille romaine Semer Semer en place Sous climat doux
    persil Semer Semez le persil sous abri  Dans toute la France
    Engrais verts vesce-seigle, trèfle incarnat Faucher Passez la tondeuse dessus ou broye-les avec une binette à lame tranchate. Pour en savoir plus, lisez la fiche conseils sur les engrais verts Dans toute la France

     

    Autres travaux de jardinage

    - Nettoyez soigneusement tous les outils ;
    - Aérez les tunnels et châssis si le temps le permet ; déroulez dessus du plastique bullé ou des paillassons s'il fait très froid ;
    - Achetez ou commandez les graines pour les semis du printemps ;
    - Dessinez le plan de votre potager pour l'année à venir : lisez la fiche conseils Mon potager nourrit ma famille toute l'année pour vous aider;
    - Travaillez votre sol à la bêche ou à la grelinette, lorsque la terre est collante : le gel brisera les mottes. Et épandez du compost. Lisez la fiche conseils Préparez votre sol pour en savoir plus.
    - Préparez le terrain pour la future aspergeraie : travail profond du sol et apport massif de matière organique.


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