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Par Jean tartre le 20 Octobre 2017 à 19:01Photo AFP
« Elle s’est endormie, on peut dire ». C’est avec cette formule théâtrale et simple à la fois que le compagnon de Danielle Darrieux, Jacques Jenvrin, a annoncé hier le décès de l’une des grandes Dames du cinéma français. Elle aura marqué de son empreinte la scène pendant sept décennies du XXe siècle et aura même poursuivi sa carrière jusqu’en 2010.
Quand tout a commencé, Mademoiselle Darrieu, n’était qu’une môme. Une gamine pétillante de 14 ans, qui ouvrait sa carrière avec Le Bal (1931) du réalisateur allemand Wilhelm Thiele ; l’histoire d’une adolescente qui s’ennuie et déchire les invitations à un bal que ses parents, un couple de parvenus, veulent donner pour élargir leur cercle mondain.
Un véritable mythe s’en va
C’était sa première apparition au cinéma, son premier rôle, son premier long-métrage. Elle tournera dans 103 autres au total, « plus que mon âge » disait-elle à l’aube de son centenaire le 30 avril dernier. Dans les années 1930, sa carrière débute de façon extraordinaire. « La petite fiancée de Paris » impose son jeu naturel, sa voix particulière, sa joie communicative, sa spontanéité attachante, sa beauté qui répond à tous les canons des années 1930.
« Tout le monde disait : ah, la petite fille », s’est souvenue un jour en souriant celle qui deviendra l’une des plus grandes vedettes du cinéma, à l’exceptionnelle longévité.
La débutante de l’entre-deux-guerres, d’abord cantonnée à des rôles de son âge, de jeune ingénue ou fantasque, devient vite l’actrice préférée des Français. Même Hollywood lui tend les bras. Elle y tourne son premier film américain en 1938, mais s’ennuie dans son exil doré et revient. Elle y retournera dans les années 1950.
DD : Danielle Darrieux est un mythe, comme ses partenaires sur scène qui ont pour nom Jean Gabin, Jean Marais, Bourvil, Fernandel, Louis de Funès, Alain Delon, Jean-Claude Brialy, Michel Piccoli…
Les plus grands réalisateurs l’ont fait tourner : ils s’appellent Billy Wilder, Maurice Tourneur, Henri Decoin (son premier mari), Claude Autant-Lara, Julien Duvivier, Sacha Guitry, Max Ophüls, Claude Chabrol, Claude Sautet, Jacques Demy. Un film lui a donné sa gloire : « Madame de… », tiré en 1953 du roman de Louise de Vilmorin, où elle campe la sublime comtesse Louise de…
Partenaire de Deneuve
Dans « Les Demoiselles de Rochefort », elle est la mère des jumelles jouées par Catherine Deneuve et sa sœur Françoise Dorléac. « C’est la seule femme qui m’empêche d’avoir peur de vieillir », disait Catherine Deneuve.
Deneuve-Darrieux… Les deux actrices se retrouvent en 2002 dans « 8 femmes » de François Ozon, alors jeune réalisateur. C’est son 99e film, elle chante comme elle avait chanté souvent, à ses débuts, dans des comédies musicales. « DD n’est pas qu’une comédienne, éclatante dans tous ses rôles, tous les genres : elle chante très bien » raconte Catherine Deneuve.
Cette élégante grande dame enjouée avait célébré en mai dernier ses 100 ans, loin des projecteurs, dans son petit village de l’Eure, à Bois-le-Roy, où elle vivait simplement. Elle s’était retiré des plateaux de cinéma et avait quitté les écrans avec « Pièce montée » de Denys Granier-Deferre, en 2010 après un début de cécité. Danielle Darrieux s’était mariée trois fois, avec Henri Decoin, le richissime play-boy Porfirio Rubirosa et le scénariste Georges Mitsinkidès, avec qui elle avait adopté un fils.
« Sa personnalité et sa grâce éternelle ont traversé les âges. D.D. une artiste, une légende, un siècle… », écrivait en mai dernier Alain Terzian, président de l’Académie des César.
Ses obsèques se tiendront mardi 24 octobre à Bois-Le-Roy. Dernier adieu à l’Éternelle Danielle Darrieux.
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Par Jean tartre le 13 Octobre 2017 à 21:12
Biographie
Jean Rochefort est né le 29 avril 1930 à Dinan. Fils de Célestin Rochefort, cadre dans l'industrie pétrolière, il grandit à Nantes avec son frère. Adolescent, il s'ennuie fermement dans sa paisible province. Contre l'avis de son père, qui souhaitait le voir intégrer une école de comptabilité, Jean Rochefort s'installe à Paris afin de suivre les cours d'art dramatique de l'école la rue Blanche puis du Conservatoire à partir de 1951. Ses camarades de jeu s'appellent Jean-Paul Belmondo et Jean-Pierre Marielle. La joyeuse bandene se quitte plus.
Jeune comédien en herbe, il est enrôlé par la Compagnie de théâtre Grenier-Hussenot, et joue dans de nombreuses pièces d'Harold Pinter, notamment au côté de Delphine Seyrig. Au cinéma, il fait ses premiers pas au début des années 60 dans des films historiques (Le capitaine Fracasse, Cartouche, Le masque de fer). Il tourne sous la direction de Philippe de Broca à plusieurs reprises dans les années 60 (Les tribulations d'un chinois en Chine, Le Diable par la queue). Il varie les registres et participe à de nombreuses comédies qui ponctuent sa longue filmographie. Dans les années 70, il prête son talent comique aux films d'Yves Robert (Le Grand blond avec une chaussure noire, Un éléphant ça trompe énormément, Nous irons tous au paradis). En 1976, il décroche le César du meilleur second rôle pour Que la fête commence de Bertrand Tavernier puis en 1978 celui de meilleur acteur pour Le Crabe-Tambour de Pierre Schoendoerffer. Acteur fidèle, il collabore également à de nombreuses reprises avec Patrice Leconte dans les années 90 (Le mari de la coiffeuse, Les grands ducs, Ridicule). En 1999, il reçoit un César d'honneur.
Dans les années 2000, l'acteur choisit ses rôles avec parcimonie et se tourne vers la jeune garde des cinéastes français; Bernie Bonvoisin (Blanche), Edouard Baer (Akoibon), ou encore Guillaume Nicloux (La clef). En 2004, il est de retour sur les planches dans Heureux ? de Fernand Raynaud. Plus rare sur les plateaux de tournages depuis 2009, il revient en 2012 avec L'artiste et son modèle de Fernando Trueba pour lequel il reçoit une nomination en Espagne au Goya du meilleur acteur. En juin 2015, il est à l'affiche dufilm de Philippe Le Guay, Floride.
Passionné de chevaux depuis sa plus tendre enfance – son grand-père possédait des chevaux de fiacre en Bretagne – il découvre l'équitation à 30 ans pour les besoins du film Cartouche de Philippe de Broca (1961). Dès lors, en dehors des plateaux de tournage, le cavalier se lance dans l'élevage de chevaux. Il possède le Haras de Villequoy dans les Yvelines. En 2000, sur le tournage de L'homme qui a tué Don Quichotte, l'acteur se blesse et doit se faire opérer d'urgence d'une double hernie discale, depuis il ne peut plus monter à cheval. En 2004, il reçoit la médaille du Mérite agricole pour avoir été à l'origine de la première transplantation d'embryons chez la jument. La même année, il commente pour France 2 les épreuves hippiques des Jeux Olympiques d'Athènes. En 2011, Jean Rochefort, également féru d'art, publie Le Louvre à cheval, un livre sur le cheval dans l'art.
Côté vie privée, Jean Rochefort est père de cinq enfants. Il se marie en 1960 avec Alexandra Moscwa avec laquelle il a deux enfants; Marie (née en 1962) et Julien (né en 1965). Durant sept ans, il partage la vie de l'actrice Nicole Garcia dont il a un fils, Pierre (né en 1981). En 1989, il épouse Françoise Vidal, architecte de vingt ans sa cadette, et excellente cavalière de saut d'obstacles. Ensemble ils ont deux enfants; Louise (née en 1990) et Clémence (née en 1992).
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Par Jean tartre le 30 Septembre 2017 à 18:23
Jeanne Moreau est née le 23 janvier 1928 à Paris. Fille d’un restaurateur et d’une danseuse de music-hall d’origine anglaise, elle a une petite soeur. Petite fille, elle se passionne pour les mots et la lecture. A l’adolescence, pendant l’Occupation, la famille s’établit dans une maison de passe, au-dessus d’un cinéma, près du quartier de Pigalle. L’un de leurs voisins est comédien et lui fait lire ses textes. Rapidement, elle commence à suivre les cours de théâtre de Denis d'Inès, en cachette de ses parents. En 1947, elle passe le concours d’entrée au Conservatoire. Quelques mois plus tard, en septembre, débute au premier Festival d'Avignon dans La Terrasse du Midi deMaurice Clavel.
En 1948, engagée comme pensionnaire par Jean Meyer à la Comédie-Française, elle y tient son premier rôle important, dans Un Mois à la Campagne de Tourgueniev. En 1950, la jeune comédienne interprète une prostituée dans la pièce les Caves du Vatican d'André Gide et remporte son premier grand succès.
Lorsqu’on lui propose de devenir sociétaire, elle décide de quitter la Comédie-Française. Elle rejoint la troupe de théâtre de Jean Vilar et devient la partenaire de Gérard Philipe. Ensemble ils se produisent de nombreuses fois au Festival d’Avignon. Parallèlement, elle reçoit des propositions pour le cinéma et commence à tourner au début des années 50 (Meurtres, Touchez pas au grisbi). En 1954, Jean Dréville lui propose un rôle dans La reine Margot, dans lequel l’actrice apparaît très dénudée. Le film remporte un vif succès et ce rôle de femme libre lui permet de se faire remarquer.
Les jeunes cinéastes de la Nouvelle vague s’intéressent peu à peu à elle. En 1957, elle tourne Ascenseur pour l’échafaud de Louis Malle, qui la révèle au grand public. La même année les rôles s’enchaînent; Trois jours à vivre, Echec au porteur, Le dos au mur. En 1958, elle retrouve Louis Malle qui la dirige dans Les amants. Elle accède au rang de star et multiplie les collaborations prestigieuses; Roger Vadim (Les liaisons dangereuses), François Truffaut (Jules et Jim), Jean-Luc Godard (Une femme est une femme), Orson Welles (Le procès) ou encore Luis Bunuel (Le journal d’une femme de chambre). Elle ajoute une corde à son arc, et prête également sa voix aux bandes originales de film; Le tourbillon pour Jules et Jim en 1962 et Embrasse-moi pour Peau de banane en 1964. Par la suite, elle enregistre un album, Jeanne chante Jeanne en 1969.
Dans les années 70, Jeanne Moreau, encouragée par Orson Welles, passe derrière la caméra et réalise son premier film Lumière (1976). Elle récidive avec l’Adolescente en 1979. Durant cette décennie, elle s’illustre dans de nombreux fims; Chère Louise de Philippe de Broca (1972), Les Valseuses de Bertrand Blier (1974), ou encore Souvenirs d’en France d’André Téchiné (1975).
Actrice éclectique, elle ne cesse tout au long de sa filmographie de découvrir différents univers. Elle varie les registres; tourne pour Jean-Pierre Mocky (Le Miraculé), Luc Besson (Nikita), Laurent Heinemann (La vieille qui marchait dans la mer), Wim Wenders (Jusqu’au bout du monde), Edouard Baer (Akoibon), François Ozon (Le temps qui reste)…
Dans les années 2000, Jeanne Moreau se trouve davantage vers le petit écran, elle devient l’une des actrices fétiches de Josée Dayan, pour laquelle elle tourne de nombreux téléfilms; Les Misérables, Les parents terribles, La comtesse de Castiglione, Les rois maudits, Sous les vents de Neptune ou encore La mauvaise rencontre.
En 2008, elle fête ses 60 ans de carrière et joue sous la direction d'Amos Gitaï et aux côtés de Juliette Binoche dans Désengagement. En 2010, elle fait un retour remarqué à la chanson avec Etienne Daho. Elle enregistre avec le chanteur le Condamné à mort de Jean Genet, à l’occasion du centenaire de la naissance de l’écrivain. En 2015, elle participe au tournage du film d’Alex Lutz, Le talent de mes amis.
Icône du cinéma, Jeanne Moreau remporte le César de la meilleure actrice pour La vieille qui marchait dans la mer, de Laurent Heynemann en 1992. Sa carrière est récompensée d’un César d’honneur à deux reprises, en 1995 et 2008, ainsi que d’un Oscar d’honneur en 1998. En 2001, elle entre à l’Académie des Beaux-arts.
Côté vie privée, Jeanne Moreau a un fils, Jérôme, né en septembre 1949 de son union avec Jean-Louis Richard (1949–1951). Elle a été la compagne du réalisateur Louis Malle, et de Tony Richardson. En 1977, elle épouse en secondes noces le réalisateur américain William Friedkin. Mais leur divorce est prononcé deux ans plus tard. L’actrice a partagé la vie du couturier Pierre
Cardin pendant plusieurs années.
Le 31 juillet 2017, l’actrice décède à son domicile parisien, à l’âge de 89 ans.
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Par Jean tartre le 30 Septembre 2017 à 18:02
Biographie De Mireille Darc
Née à Toulon le 15 mai 1938, Mireille Darc est une actrice et réalisatrice française. A 20 ans, son prix d’excellence du conservatoire en poche, elle débarque à Paris.
La télévision lui offre sa première chance : elle joue dans La Grande Bretèche de Claude Barma en 1960. Trois ans plus tard, elle tourne dans Pouic-Pouic où elle incarne la fille de Louis de Funès et de Jacqueline Maillan. A partir de 1965, elle devient l’égérie du réalisateur Georges Lautner avec qui elle tournera treize films. En 1968, elle rencontre Alain Delon sur le tournage du film Jeff. Dans les années 1970, Mireille Darc enchaîne les succès : Pour la peau d’un flic, ou encore La Valise et Le Grand Blond avec une chaussure noire aux côtés de Pierre Richard.
Dans les années 1980, elle survit à une opération du cœur dirigée par le professeur Chabrol et à un accident de voiture qui l’immobilise trois mois en raison d’une fracture de la colonne vertébrale. Elle choisit ensuite de tourner pour la télévision dans des séries estivales comme Les Cœurs brûlés, Terre indigo et Frank Riva aux côtés d’Alain Delon. A compter de 2007, ces deux éternels complices montent sur les planches dans La Route de Madison. Mireille Darc passe également de l’autre côté de la caméra : elle réalise des documentaires pour les émissions Envoyé spécial ou Des racines et des ailes. En 2015, elle réalise le documentaire Elles sont des dizaines
de milliers sans abri diffusé sur France 2.
Côté vie privée, Mireille Darc a été la compagne d'Alain Delon dans les années 70, rencontré sur le tournage de Jeff en 1968. L'actrice rencontre ensuite Pierre Barret, ancien directeur de L’Express et d’Europe 1, mais celui-ci décède en 1989. En 1996,
elle retrouve l'amour au bras de l’architecte
parisien Pascal Desprez qu'elle épouse en 2002.
Le 28 août 2017, Mireille Darc décède à l'âge de 79 ans.
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Par Jean tartre le 30 Septembre 2017 à 17:35Née en 1914, d’un père compositeur chef-d’orchestre et d’une mère harpiste, Gisèle Casadesus est prédisposée à développer ses talents artistiques. Très tôt, elle se destine à une carrière de comédienne et ses prestations remarquées lui valent de recevoir, à seulement 20 ans, le Premier Prix de Comédie au Conservatoire d'Art Dramatique de Paris. La jeune femme multiplie alors les représentations et incarne les plus grands personnages classiques dans des pièces de Molière, Marivaux, Jean Anouilh ou encore d'Eugène Ionesco, ce qui lui ouvre les portes de la Comédie Française dont elle devient Sociétaire (1939-1962). Très vite, l'actrice est courtisée par le cinéma et décroche son premier rôle aux côtés de Jean Marais dans L'aventurier (1934) de Marcel L'Herbier.
Le septième art lui fait les yeux doux et Gisèle Casadesus se fait petit-à-petit un nom dans la profession. Pierre Billon la dirige à deux reprises, dans Vautrin (1943) tout d'abord, où elle a pour partenaire Michel Simon, puis dans (1946), où elle donne la réplique à Raimu. En 1948, elle fréquente de nouveau des partenaires prestigieux dont Louis Jouvet, dans Entre onze heures et minuit et Louis De Funès dans Du Guesclin.
La comédienne se consacre pendant un temps davantage à la télévision et au théâtre (et surtout à ses enfants), avant de revenir en 1974 dans Le Mouton enragé de Michel Deville, où elle côtoie Jean-Louis Trintignant, Jean-Pierre Cassel et Romy Schneider. Elle interprète l'épouse de Jean Gabin dans Verdict (1974) d'André Cayatte, et enfile le costume de la Marquise de Lapalmmes dans Une Femme fidèle (1976) de Roger Vadim, avant de jouer pour la première fois sous la direction de Pascal Thomas dans Un oursin dans la poche (1977). Ce dernier la dirigera à nouveau dans La Dilettante (1998) puis dans Le Grand appartement (2006).
Très prolifique à la télévision, Gisèle Casadesus apparaît dans des séries à succès telles que P.J., Docteur Sylvestre ou encore Maigret, ainsi que dans de nombreux téléfilms. Souvent cantonnée aux rôles de mères ou de grand-mères au cinéma, elle a pour fils Bernard Tapie dans Hommes, femmes : mode d'emploi (1996) de Claude Lelouch, ou encore André Dussollier dans Aïe (2000). On la retrouve également en grand-mère lucide et sarcastique dans la comédie de Valérie Lemercier : Palais royal ! (2006) et en matriarche arménienne dans Le Premier cercle de Laurent
Devant la caméra de Jean Becker, Gisèle Casadesus campe Madame Mercier dans Les Enfants du marais (1999) aux côtés de Jacques Villeret, André Dussollier et Michel Serrault. Près de dix ans plus tard, le cinéaste lui offre le rôle de Marguerite, une vieille dame très érudite qui fait découvrir la magie des livres à Gérard Depardieu dans La Tête en friche (2010) et tourne la même année dans Elle s'appelait Sarah aux côtés de Kristin Scott Thomas. Après un petit rôle dans Ces amours-là de Claude Lelouch, dans lequel elle reprend le personnage d'Audrey Dana, Gisèle Casadesus porte Sous le figuier, l'histoire émouvante d'une femme sur le point de mourir, mais qui redonne de l'espoir à Anne Consigny et Jonathan Zaccaï. À 100 ans, l'actrice avait tourné dans Week-ends, avec Karin Viard, Noémie Lvovsky et Jacques Gamblin.
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