• La recette de la carbonade flamande,
    LE plat du Nord

    Un plat à goûter et à regoûter encore, la cousine du bœuf bourguignon : la carbonade flamande ! LE plat du Nord par excellence avec sa viande moelleuse et sa sauce onctueuse et parfumée. Le secret du plat : la viande mijote dans de la bière. La vergeoise, sucre brun très parfumé, casse un peu l'amertume de la bière. C'est un délice, même si l'on n'aime pas la bière... Allez, on vous confie la recette !

    Pour 6 personnes :

    • 1,5 kg de viande de bœuf à braiser (gîte, paleron, jumeau...)

    • 6 oignons

    • 30 g de beurre doux

    • 3 cuillères à soupe de farine

    • 3 cuillères à soupe de vinaigre de vin rouge

    • 1 litre de bière blonde ou ambrée

    • 3 cuillères à soupe de vergeoise (ou cassonade)

    • 2 feuilles de laurier

    • 4 branches de thym

    • 3 clous de girofle

    • 10 tranches (200g) de pain d'épices

    • Sel, poivre

    1. Découpez la viande en tranches épaisses de 2 cm environ. Epluchez les oignons et coupez-les en rondelles.

    2. Dans une cocotte, faites dorer les tranches de viande dans le beurre fondu. Assaisonnez et ajoutez farine et oignons. Mélangez bien et laissez cuire 5 min tout en remuant, pour attendrir les oignons sans les colorer.

    3. Ajoutez le vinaigre et laissez cuire 2 min. Puis ajoutez la bière, 50 cl d'eau, le thym, la vergeoise,le laurier, les clous de girofle et 6 tranches de pain d'épices coupées en morceaux. Portez à ébullition, couvrez puis baissez le feu pour laisser mijoter 2h45.

    4. Retirez le couvercle, augmentez le feu et faites cuire à découvert en remuant, jusqu'à ce que la sauce ait réduit de moitié.

    5. Faites griller les tranches de pain d'épices restantes et coupez-les en cubes.

    6. Servez la carbonade avec des frites maison et des petits cubes de pain d'épices grillés.

    Régalez-vous !


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    Comme on fait son lit, on se couche" pourrait bien en fait se traduire par "mieux on prépare sa nuit et mieux on dort". Quelle que soit la vigueur des nuisances de la vie contemporaine, nous sommes tous en mesure de créer des conditions plus satisfaisantes pour un meilleur sommeil.

     

    Pour créer des conditions plus satisfaisantes pour un meilleur sommeil, il faut tout d'abord mieux connaître les multiples facteurs qui interviennent dans la constitution du sommeil de qualité auquel nous aspirons tous. On peut les regrouper en trois catégories : les conditions biologiques, les conditions liées à l'environnement du dormeur et celles, enfin, qui dépendent du dormeur lui-même.

    Elles sont de deux ordres. Tout d'abord, il y a, bien sûr, la quantité de sommeil nécessaire. Elle dépend de chaque individu et se modifie avec l'âge. En moyenne un adulte doit dormir six à huit heures.
    Certains ne requièrent que très peu de sommeil, de deux à quatre heures par nuit (c'est l'exemple célèbre de Napoléon), d'autres ont besoin impérativement de douze heures (c'était le cas d'Einstein).

     

    Mais il y a aussi le rapport entre nos propres rythmes biologiques et le moment du cycle circadien que nous consacrons au sommeil. L'une des conditions essentielles est de bien respecter ces rythmes biologiques que certains d'entre nous oublient trop souvent ou sont conduits à négliger, à l'instar des travailleurs qui "font les 3x8", dont le sommeil peut être altéré par ce rythme de travail.

    Pour savoir quelle est la durée du sommeil nécessaire pour soi, c'est simple : il suffit de se réveiller frais et dispos. Vous comptez vos heures de sommeil, et vous saurez ainsi si vous êtes un petit ou un gros dormeur.

    Une fois votre temps de sommeil déterminé, vous pouvez essayer de modifier progressivement votre heure de réveil en agissant seulement sur le moment d'endormissement. Par exemple, si vous vous réveillez en pleine forme à six heures, couchez-vous à vingt-deux ou vingt-trois heures. Si vous voulez-vous réveillez à cinq heures en pleine forme, couchez-vous une heure plus tôt.

     

    On se réveille en pleine forme à la fin d´un cycle de sommeil. Ce dernier dure en moyenne 1h30, comprenant quelques 20 minutes de sommeil paradoxal pendant lequel ont lieu les rêves. Si vous vous réveillez à la fin d´un cycle, on a l´impression d´avoir bien dormi. En revanche, si on est réveillé en plein sommeil lent, on a l´impression d'avoir encore sommeil et de ne pas avoir assez dormi.

    C´est la même chose au moment de l´endormissement, comme chacun peut le vérifier sur lui-même. Quand vient la nuit et l´heure habituelle de se coucher, chacun sent monter l´envie de dormir, mais, si pour une raison quelconque il n´est pas possible de dormir, alors nous avons rapidement l´impression d´être parfaitement réveillé. En fait nous avons laissé passer le cycle et l´envie de dormir revient naturellement une heure ou deux plus tard.
    Apprendre à connaître votre corps et observer le rythme naturel de votre sommeil, vous permettra à coup sur de redécouvrir votre quotidien sous un jour nouveau, grâce à des nuits réussies.


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    Le Point.fr - Publié le 15/09/2012 à 18:05 - Modifié le 15/09/2012 à 18:30

    Le comédien est décédé samedi à l'âge de 87 ans.

     
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    Avec son physique râblé et son oeil bleu malicieux, Pierre Mondy, décédé samedi à 87 ans, avait su établir, à travers les multiples aspects de sa carrière, au théâtre, à la télévision ou au cinéma, une joyeuse connivence avec le public. "La comédie, c'est un terrain de jeu où j'ai joué junior, senior et vétéran !" lançait le comédien. Pourtant, rien ne semblait prédestiner aux planches ce fils de directeur d'école né à Neuilly-sur-Seine le 10 février 1925. Il grandit à Albi, dans le Tarn, et commence sa carrière à Paris en 1949 dans "Rendez-vous de juillet", de Jacques Becker. Un peu corpulent, le sourire généreux, amoureux de la bonne vie et cultivant l'amitié, mais aussi très sensible, il ne s'est presque jamais connu d'ennemis. Son seul regret fut sans doute d'avoir trop rarement joué les tout premiers rôles au cinéma.

    Pour beaucoup, il est "le commissaire Cordier", de la série télévisée très populaire Les Cordier juge et flic, créée en 1992. Il y incarnait la sagesse et la sévérité, dans des histoires compliquées à souhait où sa fille (Charlotte Valandrey), journaliste imprévisible, et son fils (Bruno Madinier), juge exigeant, lui menaient la vie dure. Mais, comme dans sa vie, c'étaient toujours la sincérité et la tendresse qui l'emportaient. "C'était un sage", a confié samedi Line Renaud.

    Entre 1949 - il a 24 ans - et 2009, Pierre Mondy, de son vrai nom Pierre Cuq, a joué dans 95 films, son plus grand rôle étant sans doute Napoléon Bonaparte dans "Austerlitz" d'Abel Gance (1960). Il se produit dans de très grands succès comme "Le comte de Monte-Cristo" de Claude Autant-Lara (1961), "Week-end à Zuydcoote" d'Henri Verneuil (1964) ou "Tranches de vie" de François Leterrier (1985) et met en scène un film ("Appelez-moi Mathilde" en 1969).<hl2 style="margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top; "></hl2>

    <hl2 style="margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top; ">"Si j'arrête, je me rouille"</hl2><hl2 style="margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top; "></hl2>

    Mais la comédie sera son genre de prédilection et son nom restera associé à "La 7e Compagnie" de Robert Lamoureux (1973, 1975, 1977), où il incarnait le sergent-chef Chaudard. Il mène parallèlement une carrière prolifique sur les planches et fera les belles heures d'au "Théâtre ce soir" comme acteur, mais surtout en dirigeant des monstres sacrés tels que Jacqueline Maillan, Poiret ou Serrault dans des pièces de Feydeau, Achard, Guitry, Francis Veber, Neil Simon.

    Il dirigea "La Vénus de Milo" de Jacques Deval, en 1962, "Monsieur de Pourceaugnac" de Molière, à la Comédie française, ou "La poudre aux yeux" d'Eugène Labiche, tous deux en 1987. Sous sa direction, "La cage aux folles", écrite par son alter ego Jean Poiret, remporte un succès considérable. "L'ami Jean" et Michel Serrault la jouent plus de 1 500 fois.

    Une autre passion fut la télévision. Il a joué dans 90 films, feuilletons ou séries télévisés, sans compter les "Cordier" (60 épisodes). Pierre Mondy n'avait jamais songé à déserter la scène ou les plateaux. "Si j'arrête, je me rouille. Tant que vous avez la mémoire, l'énergie et l'envie, il n'y a pas de raison d'arrêter", expliquait-il récemment.

    Atteint d'un lymphome (cancer) soigné à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, l'acteur confiait il y a deux ans : "Il faut relativiser beaucoup, chaque jour qui passe est un jour de gagné." "Revenir au théâtre, ça pourrait me tenter", ajoutait-il. Et celui qui fut Napoléon et soldat de "La 7e compagnie" concluait : "Dans ma tête, je ne suis pas à la retraite."


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  • l'été indien et bien la 

    on a pas eu de soleil en juillet

    nous attendons la chaleur en septembre 

    on l'espere et on l'aura 

    la rentré ces bien passé 

    en tout cas a mon grand plaisir  il me semble

    que nous aurons une belle arriere saison 

    on a etais patient on est récompensé 

    pourvue que le soleil est toujours raison 

    CASTAGNETTE


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  • Poulet rôti 
    Préparation : 10 minutes. Cuisson : 1 heure. Difficulté : Moyen. 
    Le plat préféré des français ! Le plaisir des dimanches en famille... 

    INGREDIENTS PREPARATION 
    Pour 4 personne(s)
    - 1 poulet fermier ou label rouge de 1,6 kg
    - 5 cl d'huile type colza
    - Sel
    - Poivre du Moulin
    -5 gousses d'ail
    -1 branche de thym
    -100 gr de salade roquette
    Quelques gouttes de vinaigre de vin rouge -Assaisonner l'intérieur du poulet : sel, poivre, thym et gousses d'ail en chemise.
    -Saler légérement l'extérieur du poulet.
    -Colorer le poulet sur toutes ces faces dans l'huile fumante.
    -Enfourner le poulet dans un four chaud à 180°C.
    -Retourner la pièce pendant la cuisson et arroser de temps en temps.
    -Vérifier la cuisson du poulet en piquant les cuisses. Le jus qui s'écoule doit être translucide et blanc.
    -Sortir le poulet du four et le mettre dans un endroit tiède.
    -Réaliser le jus de rôti : pincer les sucs de cuisson, dégraisser et déglacer à l'eau. Rectifier l'assaisonnement et ajouter quelques gouttes de vinaigre de vin rouge.
    -Découper le poulet et servir avec le jus bouillant.
    -Servir avec une salade roquette !

     

    SUGGESTIONS ET CONSEILS 

    Quelques astuces pour réussir un rôti :
    -Colorer la pièce avant cuisson à l'aide d'un corps gras résistant aux fortes tempèratures (Huiles ou beurre clarifié).
    -Cuire au four sans couvercle en arrosant avec les graisses de cuisson pour éviter que le rôti "séche".
    -Laisser reposer la pièce rôti dans un endroit tiède (temps de cuisson = temps de repos).
    -Réchauffer la pièce quelques minutes dans un four chaud.
    -Servir dans une assiette chaude et avec un jus bouillant.

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