• Polo il est trop gros<o:p></o:p>

    Marcel il est trop bon<o:p></o:p>

    Bernard il n’est pas beau<o:p></o:p>

    Et Lucette à un gros chiffon<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Kévin fait du jogging<o:p></o:p>

    John joue au ping pong<o:p></o:p>

    Brade bosse dans le marketing<o:p></o:p>

    Ken ressemble à King Kong<o:p></o:p>

    Et Lucette monte sur le ring<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Polo a un grand manteau<o:p></o:p>

    Marcel a un gros vélo<o:p></o:p>

    Bernard est un gros macho<o:p></o:p>

    Et Lucette est un travelo<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    étienne le sait bien<o:p></o:p>

    Patrick s’en fout<o:p></o:p>

    Jeannot n’en sait rien<o:p></o:p>

    Moi je sais tout<o:p></o:p>

    Parce que Lucette c’es mon Lucien

    écrit par Herve Lafleur

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  • Le bonhomme hiver


    Écoutez les clochettes
    Du joyeux temps des fêtes
    Annonçant la joie dans chaque cœur qui bat
    Au royaume du bonhomme hiver.
    Sous la neige qui tombe
    Le traîneau vagabonde
    Semant tout autour sa chanson d'amour
    Au royaume du bonhomme hiver.






    Le voilà qui sourit sur la place
    Son chapeau, sa canne et son foulard.
    Il semble nous dire d'un ton bonasse:
    Ne voyagez-vous donc pas qu'il est tard.

    Il vivrait tout de même,
    Près du feu je t'emmène.
    Allons nous chauffer dans l'intimité
    Au royaume du bonhomme hiver.

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  • La pluie tombe  sur nos horizons<o:p></o:p>

    Et nous séchons nos larmes <o:p></o:p>

    Les tempêtes et les bouleversements de saison  <o:p></o:p>

    Vont tirer la sonnette d’alarme !<o:p></o:p>

    Mais je crains que peu de gens<o:p></o:p>

    Réalisent que les icebergs fondent <o:p></o:p>

    Serons-nous quand  même conscients <o:p></o:p>

    Que notre terre bleue et ronde!<o:p></o:p>

    Va un jour se venger de nos erreurs répétées<o:p></o:p>

    Si on continue à vivre de cette façon<o:p></o:p>

    Notre civilisation va disparaître pour de bon <o:p></o:p>

    Alors soyons raisonnables et marchons à pied !  <o:p></o:p>

     Castagnette

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  • Je tourne mes yeux vers la fenêtre
    Où le soleil est en train d'apparaître
    La nature se pare de couleurs
    Du ton doré à la rousseur.

    On entend par delà le bois
    Les cris d'amour et les combats
    Des cerfs qui luttent pour un regard
    Des biches dédaigneuses. Quel bazar !

    Je sens l'odeur des champignons
    L'automne m'est un cher compagnon
    Il m'emplit les yeux de couleurs
    Il m'énivre de toutes ses senteurs.

    Auteur : www.alazais.net


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  • L'automne

    Salut ! bois couronnés d'un reste de verdure !
    Feuillages jaunissants sur les gazons épars !
    Salut, derniers beaux jours ! Le deuil de la nature
    Convient à la douleur et plaît à mes regards !

    Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire,
    J'aime à revoir encor, pour la dernière fois,
    Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière
    Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois !

    Oui, dans ces jours d'automne où la nature expire,
    A ses regards voilés, je trouve plus d'attraits,
    C'est l'adieu d'un ami, c'est le dernier sourire
    Des lèvres que la mort va fermer pour jamais !

    Ainsi, prêt à quitter l'horizon de la vie,
    Pleurant de mes longs jours l'espoir évanoui,
    Je me retourne encore, et d'un regard d'envie
    Je contemple ses biens dont je n'ai pas joui !

    Terre, soleil, vallons, belle et douce nature,
    Je vous dois une larme aux bords de mon tombeau ;
    L'air est si parfumé ! la lumière est si pure !
    Aux regards d'un mourant le soleil est si beau !

    Je voudrais maintenant vider jusqu'à la lie
    Ce calice mêlé de nectar et de fiel !
    Au fond de cette coupe où je buvais la vie,
    Peut-être restait-il une goutte de miel ?

    Peut-être l'avenir me gardait-il encore
    Un retour de bonheur dont l'espoir est perdu ?
    Peut-être dans la foule, une âme que j'ignore
    Aurait compris mon âme, et m'aurait répondu ? ...

    La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire ;
    A la vie, au soleil, ce sont là ses adieux ;
    Moi, je meurs; et mon âme, au moment qu'elle expire,
    S'exhale comme un son triste et mélodieux.

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