• Îles Marquises

    Polynésie française > Îles Marquises
    Les îles Marquises sont au nombre de douze ; six sont habitées. Ici, les arts traditionnels (sculpture, tapas et tatouage) sont plus développés qu’ailleurs, et d’une qualité irréprochable. Comme ces îles ne possèdent pas de récif corallien qui fasse barrière, elles sont les plus exposées aux courants froids qui remontent de l’Antarctique.

    Les incontournables : Atuona, Hiva Hoa, Nuku Hiva, Ua Huka, Ua Pou

     

     

     

     

     

     

     


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  • Climat. C'est le printemps ! Il fait froid, et pourtant, c'est chaud devant pour la Terre

    réchauffement climatique,émissions de gaz à effet de serre,co2

    A la veille du printemps, il ya une semaine, l'hiver faisait un retour en force dans le nord de la  France Photo AFP

    Il paraît que c'est aujourd'hui le printemps. Si cet hiver sans fin nous fait attendre avec encore plus d'impatience que les autres années ce rendez-vous avec Dame Nature, force est de reconnaitre qu'elle n'est pas vraiment souriante. Elle fait même carrément la gueule, Dame Nature : froid, pluie, vent... Malgré des éclaircies sur le front de l'Ouest, ce n'est pas encore aujourd'hui qu'on va boire le petit café en terrasse, en matant les filles en robes légères et les garçons en tee-shirt moulants. Non, Dame Nature n'a visiblement pas envie de chanter avec Claude François : "Viens à la maison, y a le printemps qui chante" ...

    Et pourquoi Dame Nature boude-t-elle ? Avançons une hypothèse : et si elle supportait mal les désordres climatiques provoqués par le réchauffement de la Terre ? Avec pour conséquences l'accentuation des phénomènes métérologiques extrêmes et la multiplication des anomalies climatiques, y compris sous nos latitudes tempérées et plutôt clémentes ? C'est paradoxal, mais il peut faire aussi plus froid sur certains points du globe que la "normale saisonnière" parce que la planète se réchauffe.

    Un réchauffement sans précédent depuis 11.000 ans

    D'ici à la fin du siècle, les températures pulvériseront le maximum de l'époque géologique actuelle : et ça, Dame Nature, ça la dérange. Selon une étude publiée le 8 mars par la revue "Science" aux Etats-Unis, pour les prochaines décennies, la Terre est en passe de devenir plus chaude que lors des 11.300 dernières années. Y compris si l'on intègre les prévisions les plus optimistes de réduction d'émissions de dioxyde de carbone (CO2), responsables de l'élévation des températures. Et les dix dernières années que nous venons de vivre sont les plus chaudes depuis la fin de la dernière période glaciaire.  C'est qu'on pu établir les scientifiques, en se fondant sur des analyses effectuées sur 73 sites autour du globe.

    réchauffement climatique,émissions de gaz à effet de serre,co2La Terre sera plus chaude en 2100 qu'à n'importe quel moment des 11.300 dernière années

    Virtuellement, tous les modèles climatiques évalués par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) montrent que la Terre sera plus chaude d'ici la fin du siècle qu'à n'importe quel moment durant les 11.300 dernières années et ce, selon tous les scénarios plausibles d'émissions de gaz à effet de serre.  "Nous savions déjà que la surface de la Terre est plus chaude aujourd'hui que pendant la plupart des deux mille dernières années; nous savons désormais que les températures sont aujourd'hui plus élevées que durant la plupart des 11.300 années passées... (période) qui correspond à l'essor de la civilisation humaine", relève dans "Science" Shaun Marcott, chercheur à l'Oregon State University (nord-ouest).

    La température moyenne globale augmentera de 1,1 à 6,3 degrés Celsius d'ici 2100

    L'histoire du climat montre qu'au cours des 5.000 dernières années la Terre s'est refroidie de 0,80 degré Celsius, jusqu'aux 100 dernières années qui ont vu la température moyenne monter de 0,80 degré, avec la plus forte hausse dans l'hémisphère nord où il y a plus d'étendues de terre et une plus grande concentration de populations. Selon les modèles climatiques, la température moyenne globale augmentera encore de 1,1 à 6,3 degrés Celsius d'ici 2100, en fonction de l'ampleur des émissions de CO2 provenant des activités humaines, indiquent ces chercheurs.

    Un réchauffement qui va à l'encontre de la position de la Terre par rapport au soleil

    La position de la Terre par rapport au Soleil, notamment son inclinaison, est le principal facteur naturel qui a affecté les températures au cours des 11.300 dernières années, expliquent les scientifiques. "Pendant la période la plus chaude du paléocène (les 11.000 dernières années), la Terre était dans une position qui rendait les étés plus chauds dans l'hémisphère nord", indique Shaun Marcott. "Avec le changement de cette orientation, les étés dans l'hémisphère nord se sont refroidis, et nous devrions encore être aujourd'hui dans cette longue période de refroidissement, ce qui n'est pas le cas", ajoute-t-il.

    "Le vrai problème, c'est la vitesse du changement"

    Pour ces scientifiques, le plus préoccupant, c'est que ce réchauffement sera nettement plus grand qu'à n'importe quelle période durant les 11.300 dernières années. Ce qui pose le défi de notre capacité d'adaptation et de de celles des espèces vivantes de notre écosystème, comme le souligne Michael Mann, climatologue américain, pour qui le véritable problème c'est la vitesse à laquelle s'effectue ce changement climatique.

    réchauffement climatique,émissions de gaz à effet de serre,co2Le défi de la réduction des émissions de CO2

    Les décideurs politiques attendent impatiemment du Giec une aide pour prévoir les changements climatiques et s'y adapter. En France, le 13 mars dernier, le climatologue Jean Jouzel, membre du Giec et prix Nobel de la Pais 2007,  (photo ci-contre) l'a rappelé devant la commission du développement durable de l'Assemblée nationale : on ne pourra pas tout prévoir. Et pour limiter la hausse du réchauffement du Globe à 2°C, seuil au-delà duquel le système climatique risque de s'emballer, il faut que les émissions de CO2 "commencent à décroitre d'ici à 2020" et qu'entre 2020 et 2050, "elles soient divisées par trois". "C'est un véritable défi sachant qu'elles augmentent actuellement à un rythme proche de 3% par an", et "nous sommes déjà dans une position telle que l'objectif 2020 risque fort de ne pas être atteint, avec un fossé de l'ordre de 15 à 20%", a-t-il dit.

    En attendant le rapport du Giec en 2014

    La première partie du rapport du Giec, qui confirmera l'étude américaine de "Science", sera officiellement approuvée et publiée en septembre 2013 à Stockholm. Les deux autres parties (sur l'adaptation au changement climatique et sur les solutions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre) seront adoptées au printemps 2014. La synthèse globale est attendue pour octobre 2014.

    Il n'est pas sûr que cela suffise à redonner le sourire à Dame Nature. Et comme toutes les études scientifiques s'accordent à conclure que le réchauffement de ces 50 dernières années résulte bien des activités humaines et non de phénomènes naturels, pas sûr non plus qu'elle cesse de nous bouder...

    Cathy Lafon

    â–º


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  • Paris

    Le guide du Routard

    Paris par Soazig Le Bozec
    Paris © Soazig Le Bozec

    Paris est histoire, d'abord. La grande, la petite aussi. Paris, où l’on a pris la Bastille, où l’on préfère mourir debout, au mur des Fédérés, que vivre à genoux. Paris, la ville du baron Haussmann, capitale du « progrès », de l’Exposition universelle, de la tour Eiffel et du métropolitain. Paris des ouvriers, un certain mois de juin 1936. Et Paris la peur, la délation, les rafles. Et puis, de nouveau, Paris est une fête. Paris swingue. Paris sur jazz. Et le joli mois de mai à Paris : Sorbonne occupée, barricades, grève générale. Paris étonne. Paris chante. « Il est 5 heures, Paris s’éveille... »
    Toutes ces images ont nourri le mythe. Mais celui-ci avait déjà revêtu de spectaculaires atours : Notre-Dame, le Louvre, la tour Eiffel, les Invalides, la place de la Concorde, l’Arc de Triomphe, l’Opéra, le Sacré-Cœur sur la butte Montmartre...
    Accumulations de strates, Paris est une ville tantôt gallo-romaine tantôt médiévale, classique, « Napoléon III », moderne ou résolument contemporaine, et tous ces quartiers qui sortent de terre ; cette ville a tant à offrir...
    Paris avance à grands pas. De bourgeoise, à l’ouest, et populaire, à l’est, la capitale reste « bourgeoise bohème » en son cœur. Paris, c'est aussi - avant tout ? - la ville de ceux qui l’habitent, la traversent, y travaillent, y étudient, y sortent. L'animent, en un mot.
    Et pour « partager », quoi de mieux qu’un bon vieux bistrot parisien ? On en trouve encore, entre deux tables ouvertes sur le reste du monde, ou plus dans l’air du temps.

    Un peu d'histoire Paris

    Nos ancêtres les Gaulois

    Les premiers habitants de ce qui devait devenir notre bonne vieille capitale furent les Parisii. On ne sait trop quand ils s'y installèrent, mais on est sûr qu'au moins 100 ans av. J.-C., peut-être 250 ans, l'île de la Cité, Lucotetia (qui deviendra Lutetia, la Lutèce des Romains) était habitée par cette modeste peuplade de la Gaule celtique.

    L'île n'est reliée alors que par deux vétustes ponts de bois. En trois siècles, les Romains y apportent leur savoir-faire. Ils construisent des marchés, des temples, des ponts plus solides et des rues bien droites, tracées selon un quadrillage conforme aux règles de l'urbanisme militaire en vigueur dans les camps romains. Avec, au centre, le cardo, un axe nord-sud, représenté par la route venant d'Orléans - actuelle rue Saint-Jacques - et un axe ouest-est, le decumanus, vraisemblablement notre rue Cujas. La ville s'étend principalement sur la rive gauche, jusqu'à la montagne Sainte-Geneviève.

    En 360, le préfet de Gaule, Julien, devient empereur.

    Les barbares débarquent

    C'est au Ve siècle que Geneviève s'illustre en galvanisant les habitants de Paris face aux Huns. Attila partit exercer ses talents ailleurs. Tout de même ! Sanctifiée depuis, Geneviève, on l'oublie souvent, est la sainte patronne de Paris. Le nom de « Paris » remplace celui de « Lutèce » à la fin du IVe siècle.

    Au VIe siècle, Clovis, après avoir démoli à Soissons le dernier représentant de l'autorité romaine et la tête du guerrier qui avait brisé son vase, décide d'établir sa capitale. En 508, il choisit Paris.

    Les Carolingiens ayant lâchement laissé les pirates normands piller et brûler la ville, il faut attendre la fin du IXe siècle et voir Eudes se faire couronner à Paris (dont il était le comte) pour que celle-là soit enfin consacrée capitale de la France - une petite capitale, repliée dans la Cité.

    Essor et expansion avec les grands rois

    L'activité marchande des bateliers de la Seine va donner à la ville son essor. Leur puissante corporation serait à l'origine du blason de Paris avec son navire et sa devise : Fluctuat nec mergitur (« Il est battu par les flots mais ne sombre pas »).

    À la fin du XIIe siècle, le nouveau roi, Philippe Auguste, décide de renforcer les défenses de la ville. Grande nouveauté, ce rempart de pierre flanqué de tours rondes va également englober la rive gauche. C'est là que, lassés de l'influence épiscopale sur l'enseignement, les étudiants décident de s'installer. C'est le premier signe d'indépendance des Parisiens.

    En 1370, afin de s'adapter à la superficie toujours grandissante de la ville et de remplacer l'enceinte de Philippe Auguste, qui tombait en ruine, Charles V en fait construire une nouvelle dont le tracé correspond à celui de nos « Grands Boulevards » qui relient aujourd'hui la Bastille à la Madeleine. Dès lors, et pendant les quatre siècles suivants, l'urbanisation de Paris se fera de façon planifiée.

    Henri IV réunit le Louvre au palais des Tuileries, achève le Pont-Neuf, trace les plans de la place Royale (l'actuelle place des Vosges) et de la place Dauphine, et aménage le Marais.

    À la fin du XVIIe siècle, malgré l'absence de Louis XIV, éloigné de Paris par crainte de la Fronde, les premières grandes places royales font leur apparition et deviennent sous Louis XV le centre de nouvelles perspectives. La place des Victoires, la place Vendôme et la place Louis-XV, devenue place de la Concorde, après s'être appelée aussi place de la Révolution en 1792 et encore place Louis-XVI en 1826, en souvenir de son exécution ici même, le 21 janvier 1793.

    Les grands travaux

    Les fermiers généraux décident la construction d'une nouvelle enceinte, imposant ainsi au trafic commercial un péage à l'entrée de la capitale (l'octroi). Cette enceinte, datant de la fin du XVIIIe siècle, est la dernière construction importante avant la Révolution. Son tracé correspond à nos boulevards passant par Denfert, Nation, Belleville, Stalingrad, Barbès-Rochechouart, Anvers, Pigalle, place Blanche, place de Clichy, etc.

    Napoléon, quelque temps plus tard, apporte à la capitale les arcs de triomphe, la colonne de la place Vendôme, la Madeleine, la Bourse et quelques ponts supplémentaires sur la Seine.

    S'il y a un personnage dont le nom devrait rester à jamais gravé dans la mémoire des Parisiens, c'est bien Haussmann. Ses projets d'assainissement sont de double nature. D'une part, la création de jardins, d'égouts et de réservoirs pour l'approvisionnement en eau de la capitale, ouvrages tout à fait louables, et, d'autre part, la démolition des vieux quartiers parisiens trop souvent favorables aux foyers révolutionnaires. De vieilles rues étroites sont détruites et de grandes artères font leur apparition, facilitant l'action de la police et de l'artillerie contre les barricades. Entre autres, les boulevards Saint-Michel, Saint-Germain, Sébastopol, Voltaire, Diderot et Malesherbes, ainsi que ceux de Strasbourg, de Magenta, de l'Hôpital et le boulevard Haussmann qui, ouvert en 1857 entre le faubourg Saint-Honoré et la rue de Miromesnil, n'aboutira à Richelieu-Drouot qu'en 1927.
    Du fait d'opérations immobilières hasardeuses et de dettes gigantesques, le baron Haussmann fut brutalement démis de ses fonctions. De nombreux travaux ne furent jamais achevés (la rue de Rennes n'atteignit heureusement jamais la Seine). La moitié des rues resta en chantier... pendant 20 ans !

    La ville des plaisirs et des Parigots

    Paris devient la Ville Lumière. De la Révolution au Second Empire, en 60 ans, sa population triple, passant, en gros, de 500 000 à 1,5 million d'habitants. C'est dans les 50 années suivantes que Paris acquiert son image de « capitale de la fête et des plaisirs ». La plupart des music-halls, des théâtres, des salles de spectacle sont construits de 1860 à 1910. Paris devient la capitale des arts. On vient de Russie ou d'Argentine faire la fête à Paris...
    À l'initiative de Thiers, une nouvelle enceinte fortifiée, se fondant quasiment avec les limites actuelles de la ville, protège partiellement Paris pendant son siège en 1871. Elle est rasée à la fin de la Première Guerre mondiale pour laisser la place aux boulevards extérieurs, appelés encore boulevards des Maréchaux.

    Après l'armistice de 1918, une étonnante fusion sociale, unique au monde, caractérise la capitale. « Paname » est le nouveau petit nom de Paris. Paname, c'est tout un état d'esprit empreint d'accordéon, de bal musette et du monde interlope, filles et maquereaux qui gravitent autour. À l’écran, il a pris les traits d’Arletty et de Louis Jouvet dans Hôtel du Nord...

    Entre les deux guerres, Paris se fond avec sa banlieue, et le Front populaire fait surgir des logements sociaux aux portes de la capitale. Le réseau du

    métro s'étoffe.

    Itinéraires conseillés Paris

    Difficile de donner des itinéraires types dans Paris. Vous pouvez vous y prendre par arrondissements, quartiers, thématiques, privilégier les musées, flâner le long de la Seine, aller de parc en parc, de café en café, de magasin en magasin. Bref, Paname est inépuisable !

    À ne manquer sous aucun prétexte

    - Les grands musées : le Louvre (1er), le Musée d’Orsay (7e), le Centre Georges Pompidou (4e), le Musée Carnavalet (3e), le Musée Picasso (3e), le Musée du Moyen-Age (5e), le Musée Rodin (7e), le Musée d’Art Moderne (16e), la Cité des Sciences et de l’Industrie (19e).

    - Les monuments : le Palais Royal (1er), la Sainte-Chapelle (1er), Notre-Dame-de-Paris (4e), le Panthéon (5e), la Tour Eiffel (7e), le Musée du Quai Branly (7e), les Invalides (7e), le Grand Palais (8e), l’Opéra Garnier (9e), la BNF Mitterrand (13e).

    - Les jardins : les Tuileries (1er), le Jardin des Plantes (5e), le Luxembourg (6e), les Buttes-Chaumont (19e), le Parc de la Villette (19e).

    - Les places, lieux ou artères célèbres : la place Vendôme (1er), le Pont-Neuf (1er), la place des Vosges (4e), la rue des Rosiers (4e), la rue Mouffetard (5e), les Champs-Élysées et la place de l’Etoile (8e), la place de la Concorde (8e), les Grands Boulevards (9e), la place de la Bastille (11e).

    - Les quartiers : l’Ile de la Cité (1er), le Marais (3e et 4e), l’Ile Saint-Louis (4e), le Quartier Latin (5e), Saint-Germain-des-Prés (6e), la Butte-aux-Cailles (13e), Montmartre (18e), Belleville et Ménilmontant (20e).

    Si vous avez plus de temps

    - Les musées : Musée des Arts décoratifs et le Musée de l’Orangerie (1er), le Musée du Judaïsme (3e), le Musée des Arts et Métiers (3e), le Musée Zadkine (6e), le Musée Delacroix (6e), le Musée Maillol (7e), le Musée Jacquemart-André (8e), le Musée Cernuschi (8e), le Musée Grévin (9e), le Musée Gustave Moreau (9e), le Musée de la Vie Romantique (9e), le Musée Guimet (16e), la Cité de la Musique (19e).

    - Les monuments : l’église Saint-Eustache (1er), Saint-Germain-l’Auxerrois (1er), la Conciergerie (1er), la Bibliothèque Nationale Richelieu (2e), la Mosquée de Paris (5e), l’église de la Madeleine (8e), la Cinémathèque Française (12e), la manufacture des Gobelins (13e), les catacombes (14e), le Trocadéro (16e).

    - Les jardins : le Parc Monceau (8e), le Bois de Vincennes (12e), le parc Montsouris (14e), le parc André-Citroën (15e), le Bois de Boulogne (16e), le Jardin des Serres d’Auteuil (16e).

    - Les places et artères : la place des Victoires (1er), les passages du 2e arrdt (Vivienne, Choiseul, Panoramas…), la place Saint-Sulpice (6e), le canal Saint-Martin (10e), le passage Brady (10e), la place Denfert-Rochereau (14e), le canal de l’Ourcq (19e) et la place Gambetta (20e).

    - Les quartiers : les rues piétonnières du quartier Montorgueil (2e), le Faubourg saint-Germain (7e), le quartier Oberkampf (11e) et Charonne (11e), Bercy (12e), Chinatown (13e), les Batignolles (17e), la Goutte-d’Or (18e).

    - Les cimetières : Montparnasse (14e), Montmartre (18e) et le Père-Lachaise (20e).

    - Le Sacré-Cœur (18e).

    - Le Forum des Halles (1er).

    - L’Opéra Bastille (12e).

    Les incontournables Paris

    Conter fleurette en flânant sur les quais à la tombée de la nuit. Découvrir de somptueux musées, dans l'intimité de visites nocturnes. Dénicher des bistrots authentiques et des hôtels de charme qui ne ruineront pas votre portefeuille. De la Mouff' au Quartier Latin, partager les lieux de vie des étudiants.


    Arc de Triomphe Cathédrale Notre-Dame de Paris

    Arc de Triomphe Localiser Arc de Triomphe sur la carte

    Figure de la grande épopée impériale, promettant une vue panoramique sur Paris

    Cathédrale Notre-Dame de Paris Localiser Cathédrale Notre-Dame de Paris sur la carte

    Chef-d'œuvre de l'architecture gothique, le monument le plus visité de France

    Centre Pompidou (Beaubourg) Champs-Élysées

    Centre Pompidou (Beaubourg) Localiser Centre Pompidou (Beaubourg) sur la carte

    La plus grande collection d’art moderne et contemporain en Europe

    Champs-Élysées Localiser Champs-Élysées sur la carte

    Voie triomphale de la Ville Lumière, quartier d’affaires et de boutiques, de boîtes et cabarets

    Jardin des Plantes Jardin des Tuileries

    Jardin des Plantes Localiser Jardin des Plantes sur la carte

    La Grande Galerie de l’Évolution, la ménagerie et les grandes serres

    Jardin des Tuileries Localiser Jardin des Tuileries sur la carte

    Jardins à la française, lieu de promenade parsemé de statues

    Jardin du Luxembourg Montmartre

    Jardin du Luxembourg Localiser Jardin du Luxembourg sur la carte

    L'un des plus beaux jardins parisiens, romantique à souhait

    Montmartre Localiser Montmartre sur la carte

    Quartier bohême et des artistes, aux charmants recoins

    Musée d'Orsay Musée du Louvre

    Musée d'Orsay Localiser Musée d'Orsay sur la carte

    La création artistique de 1848 à 1914, l’un des plus beaux musées du monde

    Musée du Louvre Localiser Musée du Louvre sur la carte

    Ancien château royal devenu l’un des plus grands musées du monde

    Musée du quai Branly Place de la Concorde

    Musée du quai Branly Localiser Musée du quai Branly sur la carte

    Royaume des arts et civilisations du monde entier

    Place de la Concorde Localiser Place de la Concorde sur la carte

    Majestueuse avec l’obélisque de Louxor, les colonnes rostrales et statues

    Sainte-Chapelle Tour Eiffel

    Sainte-Chapelle Localiser Sainte-Chapelle sur la carte

    Joyau de l’architecture gothique rayonnante

    Tour Eiffel Localiser Tour Eiffel sur la carte

    Tour de fer construite pour l’Exposition universelle de 1889, devenue le symbole de Paris

    Les incontournables Paris - Carte Paris

     

     

     

    Infos pratiques Paris

    Renseignements touristiques

    - Office de tourisme et des congrès de Paris : 25, rue des Pyramides, 75001 Paris (angle avec l'avenue de l'Opéra). Métro : Pyramides. De mai à octobre, ouvert tous les jours de 9h à 19h ; de novembre à avril, ouvert tous les jours de 10h à 19h.
    Nombreuses infos sur leur site internet. Documentation variée et gratuite à consulter dans les bureaux.
    Autres bureaux (même numéro de téléphone que l'office de tourisme principal) :
    - Gare de Lyon : 20, boulevard Diderot, 75012 Paris. Métro : Gare-de-Lyon. Ouvert tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés de 8h à 18h.
    - Gare du Nord : 18, rue de Dunkerque, 75010 Paris. Métro : Gare-du-Nord. « Bulle accueil » sous la verrière de la gare Île-de-France. Ouvert tous les jours de 8h à 18h. Fermé les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre.
    - Gare de l'Est : place du 11-Novembre-1918, 75010 Paris (côté TGV internationaux - rue d'Alsace). Métro : Gare-de-l'Est. Ouvert tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés de 8h à 19h.
    - Kiosque Anvers : face au 72, boulevard de Rochechouart, à la sortie du métro Anvers. Ouvert tous les jours de 10h à 18h. Fermé les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre.
    - Parc des Expositions de la porte de Versailles, pendant les salons.

    Budget

    Hébergement

    Nous indiquons des fourchettes de prix allant de la chambre double la moins chère en basse saison à celle la plus chère en haute saison. Ce qui implique parfois d'importantes fourchettes de prix. Le classement retenu est donc celui du prix de la majorité des chambres et de leur rapport qualité-prix.

    - Très bon marché : moins de 50 €.
    - Bon marché : de 50 à 70 €.
    - Prix moyens : de 70 à 100 €.
    - Chic : de 100 à 150 €.
    - Plus chic : de 150 à 200 €.

    Promotions sur Internet : De plus en plus d'hôtels modulent les tarifs de leurs chambres sur Internet en fonction du taux d'occupation. On appelle ça le « yield management ». Ces promotions sont extrêmement variables d'une période à l'autre, voire d'un jour à l'autre. Elles sont souvent particulièrement intéressantes pour les hôtels de gamme supérieure (3 étoiles).
    Le petit déjeuner est souvent inclus (ce qui n'est jamais le cas lors d'une simple réservation téléphonique).

    Attention : réservation et paiement se font parfois par le biais d'un intermédiaire (agence ou site spécialisé). Bien vérifier, car en cas de désistement, le remboursement peut être problématique, voire parfois impossible.

    Restaurants

    Notre critère de classement est le prix du premier menu servi le soir (hors boissons).

    Pour des restos (sans le vin) :

    - Sur le pouce : sandwicheries et plats à emporter.
    - Très bon marché : moins de 15 €.
    - Bon marché : de 15 à 25 €.
    - Prix moyens : de 25 à 35 €.
    - Chic : de 35 à 50 €.
    - Plus chic : plus de 50 €.

     


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