• Posté par Omran le 16/3/2009 17:35:23 (66 lectures)
    Cette anarchie de verdure me plait,
    Elle guérit en douceur mes plaies.
    Ici, je suis à l'abri de mes poèmes,
    De la femme inconnue que j'aime
    O! Ciel! Ne reflète pas ma peine
    Ni la fièvre, qui à l'écrit me traîne,
    Je veux courir après les papillons,
    Sentir l'encre variée de leurs ailes,
    Créer avec eux l'ordre des saisons,
    L'eau pure exempte de trouble!
    O! Ciel! Ne reflète pas ma peine,
    J'ai peur qu'elle s'inquiète: la reine.
    Mais comme vous devez me dévoiler,

    Voudriez-vous lever le rideau étoilé!
    Je veux chanter sur scène,
    Aux amoureux qui vivaient leurs peines...


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