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    Comment bien se protéger contre le froid

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    L'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes), et le Ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative, ont lancé une campagne d'information et de conseil, indiquant les bons réflexes à prendre pendant la vague de grand froid. 
    Des gestes simples s'adressant en priorité aux plus vulnérables comme les personnes âgées, les malades chroniques et les enfants peuvent permettre de mieux lutter contre le froid. 

    Eviter de sortir, surtout le soir

    • Rester chez soi, en faisant des provisions pour éviter de sortir.
    • Le soir est la période la plus redoutable, celle où il fait le plus froid, il vaut donc mieux rester au foyer à cette période.


    Chauffer sans surchauffer

    • Ne pas boucher les aérations
    • Aérer une fois pas jour


    Eviter d’emmener les bébés et les enfants dehors

    Evitez de sortir les bébés et les jeunes enfants, même bien protégés. 

    Bien se couvrir

    • Si une personne doit tout de même mettre le nez à l'extérieur, elle doit penser à bien se couvrir, en insistant surtout sur les extrémités, mains, pieds, tête, cou.
    • En cas de risque d'hypothermie ou de gelure, bien couvrir ces parties du corps, mais aussi le nez et la bouche pour respirer moins d'air froid.


    Penser à mettre de bonnes chaussures

    Des bonnes chaussures permettent d'éviter une glissade sur les plaques de verglas. 
    Avant d'utiliser la voiture, il est préférable de vérifier son état général et consulter la météo. 

    Prudence avec les efforts physiques à l’extérieur

    Les efforts physiques en plein air ne sont quant à eux pas recommandés, ils risquent d'aggraver d'éventuels problèmes cardio-vasculaires. 

    La consommation d’alcool ne réchauffe pas

    La consommation d'alcool n'est pas conseillée, et contrairement aux idées reçues, la boisson ne réchauffe pas. 

    Prévenir le 115 si vous croisez une personne en difficulté

    L'Inpes recommande de prévenir le 115 si l'on croise un sans-abri en difficulté dans la rue. 
    Sources : Relax news/Inpes 

     

     

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    Comment détecter les symptômes de la grippe ?

    Chaque année, la grippe est une constante durant la période hivernale. Elle est souvent fulgurante et les symptômes de la grippe sont invariablement les mêmes. Bien que lagrippe semble s´estomper après la période d´incubation, il faut éviter d´être en contact avec les membres de sa famille ou des personnes fragiles, car la grippe continue à contaminer les personnes pendant 4 à 5 jours. En effet, les larmes et la salive contiennent le virus de la grippe pendant cette période. Afin d’éviter d’infecter les autres personnes, il est conseillé dans la mesure du possible, de garder ses distances.

    Quels sont les différents symptômes de la grippe ?

    La phase d’incubation de la grippe est de 2 jours. Après cette période, les premiers symptômes de la grippe commencent à se faire ressentir. On observe une forte fièvre survenue d´un coup et  pouvant atteindre 39 °C à 40 °C. Ceci s’accompagne souvent de frissons, dus à la rapidité de l’augmentation de la fièvre.  En outre, on ressent des douleurs articulaires et des courbatures au niveau des membres. Des maux de tête sévères, des nausées, des maux de gorge et des toux sèches affectent la personne,  qui peut éprouver une fatigue extrême. Une grippe non traitée peut empirer  et déclencher certaines maladies telles que l’asthme ou la mononucléose.

    Qu´est ce que  la grippe saisonnière ?

    La grippe saisonnière est une infection virale aigüe des voies respiratoires. Elle est très épidémique et revient chaque automne pour ne finir qu’au printemps. Les symptômes de la grippe saisonnière débutent brutalement avec une fièvre élevée, une asthénie, des courbatures et des céphalées accompagnés d’une toux sèche. Ce type de grippe peut s’empirer et conduire à des troubles respiratoires chez les personnes vulnérables.

    Les personnes fragiles sont incitées à se faire vacciner avant l´hiver et le début de l´épidémie de grippe. Par ailleurs, afin de soulager ces symptômes, il est conseillé de bien se reposer et de boire régulièrement de l’eau pour éviter une déshydratation. En cas de fièvre, il est préférable de porter des vêtements légers et de prendre du paracétamol (en respectant la dose adaptée à l’âge et au poids du malade).


    Qu’est-ce que c’est  la grippe A ?

    Qualifiée de pandémie par l’OMS en 2009, les symptômes de la grippe A (H1N1) et sa vitesse de propagation la distinguent de la grippe saisonnière. La grippe A (H1N1) est une infection virale provenant de phénomènes de fusion à partir de virus porcin, virus humain et virus aviaire, bien qu’actuellement, elle se transmette d’homme à homme. Elle se manifeste par l’apparition d’un syndrome respiratoire aigu et instantané associé à des symptômes généraux tels que fièvre, courbature, asthénie, toux ou dyspnée.

    Dans le cas où ces symptômes surviennent alors qu’on vient de séjourner dans un pays à risque comme Mexique ou la Chine. Il est primordial d’aller consulter un médecin pour pouvoir bénéficier de la prise en charge adéquate de cette grippe.


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    L’huile de palme et la santé

    huile de palme photo

    À cause de son très faible coût, l’huile de palme est de plus en plus utilisée dans une grande variété de produits : céréales, margarine, crème glacée, biscuiteries, pains industriels, barres chocolatées…
    Rajouter du gras (huile de palme), dans une alimentation déjà trop riche en corps gras saturés, n’est pas bon pour la santé.

    De plus, les plantations de palmiers à huile causent la destruction de la forêt tropicale (extinction des orang-outan…)  et causent le rejet très important de dioxyde de carbone dans l’atmosphère. (A cause des feux de foret, l’Indonésie est devenu le troisième producteur de CO2 de la planète.)

    À l’instar des gras trans, les gras saturés contribuent également à augmenter le mauvais cholestérol. Les gras saturés sont généralement solides à la température ambiante. On les retrouve dans les collations, les produits de boulangerie et les aliments qui contiennent du lard et de l’huile de palme ou de coco.
    Dites « oui » aux gras polyinsaturés, surtout aux oméga-3
    Les gras polyinsaturés font également baisser le mauvais cholestérol en améliorant la tension artérielle et en réduisant l’accumulation de plaques.

    On retrouve les acides gras oméga-3, de la famille des polyinsaturés, dans les poissons gras comme le saumon, la truite, le hareng et les sardines. Les graines de lin moulues, l’huile de lin sont également d’excellentes sources….
    Il importe de consommer tous les types de gras avec modération.
    En limitant votre consommation de gras trans et saturés et en privilégiant plutôt les gras monoinsaturés et polyinsaturés, vous arriverez à équilibrer votre taux de cholestérol.

    Votre cœur vous en sera reconnaissant!

    Ces huiles (palme, …) ne devraient pas porter le nom d’huile mais de graisse
    Elles ne sont pas fluides mais concrètes, dures à température ambiante à cause de leur richesse en acides gras saturés bien supérieure à celle des graisses animales comme le beurre.

    L’American Hearst Association, la grande association de lutte contre les maladies cardiovasculaires, avait aussi mis en garde contre une application trop rapide, qui pourrait pousser les restaurateurs à trop vite se replier vers des huiles tout aussi dommageables (l’huile de palme par exemple) .

    Les plantations de palmiers à huile remplacent peu à peu les forêts du sud-est asiatique et d’Afrique centrale. Déboisées par le feu, elles disparaissent, entraînant avec elle des espèces animales telles que l’orang-outan. Mais au-delà de ces conséquences dramatiques, qui touchent déjà les populations locales, c’est le fragile équilibre de notre planète qui est lui-même bouleversé…

    Une étude récente révèle que la demande agro-alimentaire et cosmétique pour de l’huile de palme, une huile végétale que l’on peut trouver dans un produit sur dix sur les étagères de nos supermarchés, va entrainer l’extinction des orangs-outans. « Le Scandale des singes pour de l’huile », publié par les Amis de la Terre, conclut que, sans une intervention urgente, le commerce de l’huile de palme pourrait causer l’extinction des seuls grands singes d’Asie d’ici 12 ans


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    Comme on fait son lit, on se couche" pourrait bien en fait se traduire par "mieux on prépare sa nuit et mieux on dort". Quelle que soit la vigueur des nuisances de la vie contemporaine, nous sommes tous en mesure de créer des conditions plus satisfaisantes pour un meilleur sommeil.

     

    Pour créer des conditions plus satisfaisantes pour un meilleur sommeil, il faut tout d'abord mieux connaître les multiples facteurs qui interviennent dans la constitution du sommeil de qualité auquel nous aspirons tous. On peut les regrouper en trois catégories : les conditions biologiques, les conditions liées à l'environnement du dormeur et celles, enfin, qui dépendent du dormeur lui-même.

    Elles sont de deux ordres. Tout d'abord, il y a, bien sûr, la quantité de sommeil nécessaire. Elle dépend de chaque individu et se modifie avec l'âge. En moyenne un adulte doit dormir six à huit heures.
    Certains ne requièrent que très peu de sommeil, de deux à quatre heures par nuit (c'est l'exemple célèbre de Napoléon), d'autres ont besoin impérativement de douze heures (c'était le cas d'Einstein).

     

    Mais il y a aussi le rapport entre nos propres rythmes biologiques et le moment du cycle circadien que nous consacrons au sommeil. L'une des conditions essentielles est de bien respecter ces rythmes biologiques que certains d'entre nous oublient trop souvent ou sont conduits à négliger, à l'instar des travailleurs qui "font les 3x8", dont le sommeil peut être altéré par ce rythme de travail.

    Pour savoir quelle est la durée du sommeil nécessaire pour soi, c'est simple : il suffit de se réveiller frais et dispos. Vous comptez vos heures de sommeil, et vous saurez ainsi si vous êtes un petit ou un gros dormeur.

    Une fois votre temps de sommeil déterminé, vous pouvez essayer de modifier progressivement votre heure de réveil en agissant seulement sur le moment d'endormissement. Par exemple, si vous vous réveillez en pleine forme à six heures, couchez-vous à vingt-deux ou vingt-trois heures. Si vous voulez-vous réveillez à cinq heures en pleine forme, couchez-vous une heure plus tôt.

     

    On se réveille en pleine forme à la fin d´un cycle de sommeil. Ce dernier dure en moyenne 1h30, comprenant quelques 20 minutes de sommeil paradoxal pendant lequel ont lieu les rêves. Si vous vous réveillez à la fin d´un cycle, on a l´impression d´avoir bien dormi. En revanche, si on est réveillé en plein sommeil lent, on a l´impression d'avoir encore sommeil et de ne pas avoir assez dormi.

    C´est la même chose au moment de l´endormissement, comme chacun peut le vérifier sur lui-même. Quand vient la nuit et l´heure habituelle de se coucher, chacun sent monter l´envie de dormir, mais, si pour une raison quelconque il n´est pas possible de dormir, alors nous avons rapidement l´impression d´être parfaitement réveillé. En fait nous avons laissé passer le cycle et l´envie de dormir revient naturellement une heure ou deux plus tard.
    Apprendre à connaître votre corps et observer le rythme naturel de votre sommeil, vous permettra à coup sur de redécouvrir votre quotidien sous un jour nouveau, grâce à des nuits réussies.


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    Mener une vie saine, c’est faire des choix santé tous les jours. Des choix sains qui nous gardent en bonne forme physique, mentale et spirituelle. Bien manger, être actif et ne pas fumer sont en tête de liste parmi les bonnes choses à faire pour rester en bonne santé. En gardant la forme, nous pouvons prévenir les maladies chroniques et réduire le risque de maladie ou de blessure sérieuse.

    De nombreux facteurs jouent un rôle sur la santé des hommes et des femmes  comme les antécédents familiaux, le sexe, la culture, l’éducation, la situation d’emploi, le revenu, l’environnement, leur capacité d’adaptation et les réseaux de soutien social. En tant qu’individu, il y a beaucoup de choses que nous pouvons faire pour influencer positivement notre santé et notre bien-être sur le plan physique, mental, social et spirituel et il en va de même pour les groupes, relativement à la santé et au bien-être de leurs membres.

    Mener une vie plus saine n’est pas seulement un choix personnel, c’est une responsabilité partagée. Tout le monde a un rôle à jouer. Les particuliers, les communautés, les gouvernements et les autres organismes peuvent travailler ensemble pour créer des environnements et des conditions qui appuient les modes de vie sains, comme par exemple construire des communautés et des bâtiments qui encouragent l’activité physique, créer des endroits publics sans fumée ou faciliter l’accès à des aliments sains.

     


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