• A l'occasion de la fête des mères le dimanche 30 mai 2010, surprenez votre maman chérie et offrez-lui de magnifiques cadeaux !et ecrivez lui de joli poèmes


    une maman
    c’est comme une étoile tombé du ciel
    qui nous comble avec sa bonne humeur.

    sa joie et son sourire qu’elle nous donne.

    une maman c’est se qu’il y a de mieux

    dans notre petit coeur.


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  • Une conséquence du réchauffement climatique souvent évoqué est la fonte des glaces accompagnée par la montée du niveau des mers. En fonction de l’ampleur du phénomène, des catastrophes multiples sont annoncées par les experts. Pour visualiser ces effets, Futura-Environnement vous propose un simulateur qui calcule la submersion et les nouveaux bords de mer...

    Il est certain qu’une fonte des glaces terrestres va entrainer un transfert de leur volume vers les océans et provoquer leur montée. Selon certains scientifiques, la fonte complète du Groenland élèverait ce niveau de 7 mètres, et celle de l’Antarctique occidental de 5 mètres. Une autre raison de la montée des océans, qui n'a rien à voir avec la fonte des glaces, est la dilatation de l'eau sous l'effet de la température.

    Simulateur : jusqu’à combien de mètre sommes-nous "waterproof" ?

    Afin de mieux visualiser les conséquences d’un tel phénomène, il existe des simulateurs de la montée des océans. « Flood Maps » se basent sur Google Maps pour la partie cartographie, et sur des données prises avec un radar altimétriques de la NASA pour le calcul des zones recouvertes. Il permet de simuler une montée du niveau de la mer jusqu’à 14 mètres.

    Ces simulations restent approximatives. Par exemple, ce modèle ne prend pas en compte les marées, ni l’érosion des côtes ou les protections construites pour préserver les terrains. De plus, la carte ne tient pas compte des zones, certes en dessous du niveau des océans mais qui ne communiquent pas avec ceux-ci. Inversement, l’altitude des villes est exagérée par les techniques de mesures spatiales et donc certaines villes sauvées des eaux par le simulateur feront en réalité partie du monde sous-marin.

    En résumé, cette simulation n’est pas une prédiction précise mais elle démontre d’une manière explicite les possibles conséquences du réchauffement climatique.

    634 millions de personnes, soit un 8ème de la population mondiale, vivent dans une “zone côtière de faible élévation” à moins de 10 mètres au dessus du niveau de la mer. Donc selon une étude de l’Institut International pour l’Environnement et le Développement (IIED), une augmentation de 10 mètres du niveau de la mer provoquerait :

    • l’inondation partielle ou totale de certaines des plus grandes villes du monde comme Shanghai, Calcutta, Londres et New-York ;
    • la perte de vastes étendues de terres agricoles productives ;
    • des millions de réfugiés climatiques potentiels, par exemple en Chine (144 millions), en Inde (63 millions), au Bangladesh (62 millions) et Japon (30 millions) et même aux Etats-Unis (23 millions)

    Peu importe le scénario ou les chiffres annoncés, les enjeux sont multiples et le simulateur démontre bien qu'aucun continent ne sera épargné. La communauté internationale aura besoin d’une démarche globale pour lutter contre le réchauffement climatique. Espérons qu'un déclic se produise à Copenhague.


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  • Les poissons en danger

    Dans le monde, près de 2,6 milliards de personnes dépendent du poisson comme principale source de protéine animale. 200 millions de personnes dans le monde gagnent tout ou partie de leur revenu grâce à la pêche et à ses activités liées. Au milieu du XIXe siècle, on pêchait 500 000 tonnes de produits de la mer. Actuellement, la part de la pêche en eau de mer stagne depuis quelques années mais elle a atteint 95 millions de tonnes en 2004. Mais cette vertigineuse envolée n’est pas sans conséquences dramatiques pour les poissons. 52% des stocks de poissons sont exploités à leur maximum, 24% sont surexploités, épuisés ou en en cours de récupération, 21% sont modérément exploités. Seulement 3% des stocks mondiaux de poisson sont sous exploités.

    Les techniques de pêches sont l’une des causes de la chute de la biodiversité marine : chaluts de fond, filets maillants non sélectifs charriant 35 % de prises "accessoires" (espèces non commercialisées qui sont rejetées à la mer mortes, étouffées ou estropiées). Le meilleur exemple de cette pêche intensive est le cabillaud (ou morue). Abondant au XIXe et au début du XXe siècle, le stock s’effondre brutalement au début des années 1980-1990. Malgré un moratoire instauré en 1992, le stock canadien a du mal à se régénérer. Fermeture des pêches à la morue, instauration de quotas sont quelques unes des solutions mises en place pour tenter de reconstituer le stock.

    L’aquaculture : une fausse solution à la surpêche!
    La plupart des poissons élevés sont carnivores : les nourrir nécessite de grandes quantités de poissons sauvages. Pour 1kg de saumon, de bar ou de daurade d'élevage il faut 4kg de farine de poissons sauvages. Ce chiffre passe à 15 ou 20 kg pour 1kg de thon rouge d’élevage. L'élevage de poissons produit une quantité énorme de déchets de façon concentrée : l’ensemble des fermes d’élevage de saumon en Ecosse rejettent par jour autant de déjection que les 600 000 habitants d’Edimbourg, les élevages industriels nécessitent pour éviter la transmission des maladies l'utilisation massive d'antibiotiques. Les poissons qui "bénéficient" de ces traitements se retrouvent porteurs de germes extrêmement contaminants pour les poissons sauvages. Certains élevages de crevettes sont responsables de la disparition d'écosystèmes fragiles comme ceux des mangroves en Amérique du Sud.

    Il n'est pas question de cesser de consommer du poisson. L’urgence est d’arrêtez d’acheter les espèces qui proviennent toutes de méthodes de pêche causant de graves dommages à l'environnement, et d’achetez des produits de la mer pêchés localement, de consommez du poisson pêché en dehors des périodes de reproduction, de ponte ou quand les juvéniles sont petits. Bien qu’il nous soit moins familier que pour les fruits et légumes, il existe un calendrier des saisons pour les poissons, qui guide le choix de l’achat au fil des mois.

    Il n'est plus possible de citer aujourd'hui des espèces à consommer sans modération car plusieurs paramètres entrent en ligne de compte (état des stocks, méthodes de pêche utilisées, pollutions diverses). Consommez des espèces herbivores d'élevage comme le Tilapia ou le Pangasius ou des espèces comme le bar de ligne (attention à bien retrouver l'étiquette au niveau de l'ouïe).

    Liste des poissons à privilégier ou à éviter : poissons
    Calendrier des saisons des poissons : calendrier


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    Tabagisme : la vie en fumée



     

     

    Crée le 19/03/2009 par Christine Baudry
    Révisé le 14/09/2009

     

    Geste machinal, petit bonus stimulant ou au contraire décontractant… La cigarette a tout pour plaire. Du moins au début ! Ensuite, c’est un esclavage, autrement dit une drogue à forte dépendance.

    La dépendance tabagique se présente sous différents aspects plus ou moins marqués selon le profil du fumeur. La nicotine contenue dans le tabac passe très rapidement dans le sang, puis dans le cerveau et provoque diverses sensations : plaisir, stimulation intellectuelle, détente (effet tranquillisant), régulation du moral (effet antidépresseur)…

    Dépendance physique et psychologique

    Le fumeur a besoin de maintenir un taux de nicotine constant dans son organisme pour ne pas souffrir d’une sensation de manque. La dépendance au tabac est donc physique et psychologique, liée à l’effet de manque dans le cerveau et à ses conséquences sur l’humeur.

    Dépendance comportementale

    Elle est aussi comportementale : fumer est un rite intégré dans les gestes de la vie quotidienne et sociale. Avec le café, pendant le coup de téléphone, etc. Chez le vrai fumeur, la plupart des cigarettes allumées dans la journée ne relèvent même plus de l’acte conscient, ce sont des gestes automatiques qui entretiennent le taux de nicotine dans le sang.
    Ajoutons enfin, comme signe de la dépendance, que la majorité des fumeurs ont parfaitement conscience des dangers qu’ils encourent du fait de leur tabagisme, mais que cela ne suffit pour qu’ils arrivent à y renoncer.


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     Beethoven Ludwig van
    1770-1827


    Buste d'après le masque du visage
    réalisé par Franz Klein en 1812


    Bonn (Allemagne) 16 ou 17 décembre 1770 (baptême 1er décembre) ; † Vienne (Autriche)  † 26 Mars 1827.

    Son grand père, marchant de vin est aussi musicien à la chapelle de l'archevêché. Son père,  ténor à la même chapelle lui délivre ses premières leçons de musique mais échoue dans la tentative de lui faire mener une carrière d'enfant prodige.

    Il lui fait donner des cours de piano avec Gilles van der Aeden et  Tobias Friedrich Pfeiffer, de violon avec Georg Rovantini, d'orgue avec Willibald Koch et Zense, organiste à la cathédrale de Bonn.

    Mais c'est l'enseignement de Christian Gottlob Neefe arrivé à Bonn en 1779, qui est décisif. Il lui enseigne le piano, l'écriture, mais encore les philosophes de l'antiquité, et certainement le goût pour les idées républicaines. Il sera un ami et un protecteur.


    Affiche de la première apparition publique


    Dessin de Johann Peter Lyser
    «Cäcilia» 1823

    En 1781, Beethoven fait une tournée à Rotterdam qui ne remplit pas les espoirs financiers. En 1782 il remplace Neefe à l'orgue et devient organiste régulier de la chapelle du prince-archevêque Maximilian Franz. La même année, il publie 9 variations en do mineur sur un thème de Dressler [numéroté aujourd'hui WoO 63].
    Neefe le présente dans les milieux biens établis de la ville. La famille von Breuning le prend à son service comme professeur de piano. Au sein de cette famille, il peut assister quotidiennement à des conversations ou des lectures des oeuvres de Goethe, Schiller, Herder. Il suit quelques conférence de philosophie à la nouvelle Université créée par Maximilian Franz.


    Beethoven, miniature de Christian Hornemann, 1803


    Archevêque Rudolf, élève
    et protecteur de Beethoven


    Therese Brunswick élève de  Beethoven. D'après un tableau de
    J. B. Ritter de Lampi


    Un des protecteurs de Beethoven : le comte Andréj Razumówskij D'après un tableau de F. Waldmüller


    Beethoven, Portrait par Josef Hochenecker, 1819


    Portrait par Ferdinand Schimon réalisé à l'automne 1819
    Conservé dans la maison natale de Beethoven à Bonn


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