• Massage Express

    Pas suffisamment coincée pour déranger le kiné et trop pressée pour passer une heure chez l’esthéticienne, aujourd’hui quand on a envie d’un petit massage, on peut aller au café ou au bureau…

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    Pour tout massage, il est recommandé de consulter des masseurs-kinésithérapeutes diplômés.

    En France où le toucher reste encore tabou, se faire masser devant tout le monde à l’heure de l’apéritif ou au bureau entre deux réunions n’est pas franchement inscrit dans notre culture. Et pourtant le massage est un excellent moyen de se détendre, de faire baisser la tension et d’oublier son stress.

    Massage express dans les bars et dans certaines entreprises

    Massage expressMême si à Paris, on ne s’étonne plus de rien, en août 99 les premiers clients du No Stress Café ont dû avoir une belle surprise en voyant dans ce resto une chaise de masseur placée à côté du bar. "Au début, explique Guy Boutros, kiné et co-fondateur du No Stress café, les clients étaient assez réticents et ne venaient pas spontanément se faire masser, aujourd’hui ils sont habitués et nous avons beaucoup de fidèles". Complètement  dans l’air du temps le concept du No Stress séduit : les massages sont courts - 15 minutes -,  pas chers, 7.62 €uros (soit 50 Francs) - se font sans rendez-vous et uniquement dans un but de relaxation. Ici on ne soigne pas, on détend. Et ça fait du bien, tellement de bien que certaines entreprises n’hésitent pas à s’offrir une fois par semaine par exemple les services d’un masseur. C’est ainsi qu’au No stress café, les 4 masseurs du restaurant travaillent également dans des entreprises comme Canal Plus, Vivendi ou Club-Internet.

    Quels sont les effets d’un massage express ?

    A califourchon sur la chaise de massage, le ventre collé au dossier, les genoux et les bras reposant sur des accoudoirs, on est parfaitement soutenu. En 15 minutes le masseur s’occupe du dos, des épaules, de la nuque et de la tête... bref des zones où ça coince facilement. Une fois la séance finie, quand tous  les muscles sont bien détendus, on se sent bien : le corps léger et la tête apaisée. Et le soir venu, on s’endort facilement et on bénéficie d’un sommeil vraiment réparateur. Évidemment, selon les personnes et leur état d’esprit au moment du massage, les résultats seront différents.

    Certains retrouvent un regain  d’énergie alors que d’autres n’ont qu’une seule envie : aller se coucher. Pour profiter pleinement de ce moment de détente, il y a deux règles simples à respecter : le faire quand on en ressent le besoin et se laisser aller pendant le massage. Une relation de confiance doit s’instaurer entre le masseur et son patient. Si vous ne le sentez pas, ça ne sert à rien de se forcer.


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  • Le couscous de Castagnette<o:p></o:p>

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    Pour 8 personnes<o:p></o:p>

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    Ingrédients<o:p></o:p>

    -1 kg de couscous moyen précuit <o:p></o:p>

    -1kg 200 de d’épaule d’agneau désossée <o:p></o:p>

    - 500 gr de collier d’agneau <o:p></o:p>

    - 10 merguez <o:p></o:p>

    -500gr de carotte <o:p></o:p>

    - 500 gr de courgette<o:p></o:p>

    -2 poivrons<o:p></o:p>

    -1 aubergine <o:p></o:p>

    -5 navets <o:p></o:p>

    - 4 oignons émincée <o:p></o:p>

    - 1 grande boite de tomate pelée <o:p></o:p>

    - mélange d épice à couscous <o:p></o:p>

    - quelques feuilles de laurier <o:p></o:p>

    - 3 cuillères a soupe d’huile d’olive et 2 cuillères  d’huile de tournesol    <o:p></o:p>

    -1 petite boite de pois chiche <o:p></o:p>

    - 50 gr de concentré de tomate <o:p></o:p>

    -harissa en tube, sel poivre  <o:p></o:p>

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    Dans un couscoussier ou un grand fait- tout  faite revenir la viande avec l’huile d’olive, ajoutez les oignons, la boite de tomate et le concentrée et versez 1 litres et demie  d’eau tiède.<o:p></o:p>

    Et les feuilles de laurier,  salez poivrez ; laissez cuire environ 1heure 30 minutes a feu doux.<o:p></o:p>

    Ensuite ajoutez les navets les carottes, et deux cuillère à café de mélange d’épices à couscous.<o:p></o:p>

    Et laissez cuire encore 1 heure et pour terminez ajoutez les poivrons les courgettes l’aubergine et les pois chiche.<o:p></o:p>

    Laissez mijotez 1 heure, et commencez a préparez la semoule de couscous, portez a ébullition 1 litre et demie d’eau  salé et ajoutez 2 cuillères à soupe  d’huile de tournesol  versez sur la semoule dans un saladier laissez gonfler 10 minutes et ensuite avec l’aide d’une fourchette séparer les grains vous pouvez mettre la semoule dans le haut du couscoussier pour qu’elle  prenne la chaleur et  le parfum du bouillon si vous avez pas de couscoussier  préparez la semoule au dernier moment ?<o:p></o:p>

    Faite grillez les merguez sur une grille en fonte, et mélanger l’harissa avec du bouillon mettre dans un petit bol pour les personnes qui aiment épicée.<o:p></o:p>

    Servir la viande et les  légumes dans un plat qui  conserve la chaleur (genre tajine en terre)<o:p></o:p>

    La semoule dans une  jatte en bois fera l’affaire et ajoutez des bols individuels Pour le bouillon .Si vous aimez  rajoutez  des boulettes de bœuf en générale cela plait aux  enfants !<o:p></o:p>

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  • Au creux de son oreille
    Ronrons de gros matou,
    Faut pas que je l'effraye.
    Elle répondit :" Miaou ! "

    Au creux de sa menotte
    J'ai mis mon billet doux.
    Elle en prit bonne note
    Et s'exclama : "C'est chou !"

    Au creux de sa fossette
    J'ai chipé un bisou.
    Elle n'a pas dit arrête,
    Mais seulement "oh vous !"

    Au creux de son corsage
    J'ai fureté partout.
    Dix doigts à l'abordage,
    Elle a crié " boudiou !"

    Au creux de sa cambrure
    j'ai déposé ma joue
    En espérant qu'ça dure.
    Elle chuchota "voyou"

    Au creux de son corps sage
    M'offrit son roudoudou,
    Sublime coquillage
    D'un premier rendez vous.
    Seul témoin de la plage
    La lune du mois d'août...

    papy Robert


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  • Les causes de la fatigue<o:p></o:p>

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    La fatigue est l'un des grands maux de notre époque, puisque, selon différentes enquêtes, 60% des Français se déclarent fatigués. Les causes de la fatigue, ou " asthénie ", sont très nombreuses.<o:p></o:p>

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    La fatigue est parfois la conséquence d'une maladie générale (diabète, cancer), d'un surmenage sportif ou professionnel, mais dans la majorité des cas, il est difficile de trouver une cause précise. Dernière explication en vogue : un virus serait responsable de ce que les Américains ont nommé le " syndrome de fatigue chronique ", ou maladie des yuppies, ces jeunes cadres dynamiques qui travaillent dans les banques et sont soudain terrassés par une fatigue inexplicable.<o:p></o:p>

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    Aux États-Unis, on estime que près de 100 000 personnes sont atteintes de cette maladie mystérieuse, et dans notre pays, il y aurait 500 000 personnes, chaque jour, qui consulteraient un médecin pour cette raison.<o:p></o:p>

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    D'après une enquête réalisée en France, l'étude de la répartition des cas révéle que la plupart sont en fait des " fatiguées ". En effet, la fatigue frappe souvent les femmes. Dans la moitié des cas, un examen minutieux trouve à l'origine de cette fatigue une cause organique bien réelle : un début de diabète, un cancer débutant, parfois une tumeur bénigne du cerveau expliquant un mal de tête persistant et fatigant. Souvent, les fatigués refusent d'être malades : par exemple ils ne veulent pas admettre qu'ils sont diabétiques, ou que leur diabète est mal soigné. C'est aussi le cas de personnes déprimées, qui refusent de le reconnaître, et de personnes qui pour une raison ou une autre ont reçu par exemple un traitement anxiolytique ou un somnifère pendant quelques temps et le continuent par habitude. Dans ces circonstances, la fatigue s'explique facilement par l'intoxication médicamenteuse.<o:p></o:p>

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    Mais dans la seconde moitié des cas, on a du mal à découvrir une cause organique, psychique ou toxique précise. La fatigue trouverait alors son origine dans un dérèglement total des rythmes de vie. C'est le cas par exemple des " toxicomanes de l'effort " : il s'agit de personnes qui non seulement travaillent beaucoup, mais qui, à leurs journées surchargées ajoutent des exercices physiques intenses et des sorties nocturnes. Ces personnes " vivent sur les nerfs ", et la fatigue est bien compréhensible. À l'inverse, la fatigue peut être la conséquence d'une vie terne, sans joies ni plaisirs, qui conduit vite à " la déprime ". Enfin, l'étude des cycles journaliers a montré que les changements de rythme sont particulièrement fatigants. C'est le cas des personnes qui travaillent en 3x8 ou qui voyagent beaucoup et sont tout le temps soumises au décalage horaire.<o:p></o:p>

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    Fatigue et asthénie<o:p></o:p>

    Il y a plusieurs sortes de fatigue, très différentes les unes des autres. Quand vous avez travaillé toute la nuit pour passer (et réussir) un examen, ou lorsque vous gagnez une compétition sportive, vous êtes fatigué parce que vous avez fourni un effort important. Mais il s'agit d'une fatigue normale et " heureuse ".<o:p></o:p>

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    En revanche, lorsque vous êtes déprimé, ou que vous souffrez d'une maladie cardiaque ou pulmonaire qui vous essouffle rapidement, vous êtes fatigué à cause d'une affection précise. Dans ce cas-là, on parle généralement d'asthénie. Autrefois, on employait beaucoup le terme de neurasthénie (fatigue nerveuse) pour évoquer la dépression.<o:p></o:p>


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  • UNE MALADIE DE NOTRE TEMPS

    Le stress est souvent décrit comme l'une des grandes maladies de notre époque, surtout dans le travail. Engendré par l'ensemble des contraintes que nous subissons chaque jour, il serait à l'origine de la plupart des maladies coronariennes, des ulcères à l'estomac ou encore de dépressions et de l'absentéisme.

    Avant de décrire plus précisément les causes et les symptômes du stress, voici quelques données sur l'ampleur de ce phénomène.

    LE STRESS TUE

    Selon le BIT (le Bureau International du Travail, qui siège à Genève et est un organisme important pour l'étude des conditions de travail), dans son rapport annuel de 1993, le stress est " l'un des plus graves problèmes de notre temps ". Le stress provoque un très grand nombre de maladies, et, dans certains pays, il serait même mortel : c'est le cas, par exemple, au Japon, où le syndrome d'épuisement nerveux semblable à notre stress s'appelle le karoshi. Il s'agit d'une maladie redoutée, due à l'épuisement physique et nerveux provoqué par le travail. Le karoshi touche des employés modèles qui travaillent vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et qui, au bout d'un certain temps, sombrent dans l'apathie, dans un épuisement qui peut les conduire à la mort (mais, heureusement, les cas sont fort rares).

    Le stress dans le travail concerne les employés qui s'investissent trop dans leurs tâches, et se déroule selon un schéma désormais classique : dans une première phase, le jeune diplômé montre beaucoup d'enthousiasme et d'énergie. Il travaille constamment pour faire sa place dans l'entreprise ou gravir plus rapidement les échelons de la hiérarchie. Au bout de quelque temps, le carburant nerveux vient à manquer, et il commence à se plaindre de fatigue, de troubles du sommeil, d'irritabilité excessive. Puis, progressivement, apparaissent les signes d'épuisement nerveux et physique, marqués par un état dépressif important.

    On pourrait rapprocher de cet état le " syndrome des yuppies ", qui se manifeste aussi par une profonde fatigue, et qui est d'origine inconnue. Pour les Américains, très nombreux à être affectés par cette maladie, elle serait d'origine virale, alors que les médecins français penchent plutôt pour une origine psychologique.

    LES VICTIMES DU STRESS

    Toujours selon les études américaines, le stress au travail reviendrait très cher, puisque son coût est évalué, uniquement aux États-Unis, à 200 milliards de dollars par an, soit approximativement 1 000 milliards de francs, en raison des soins médicaux, de l'absentéisme au travail et de la baisse de productivité. En Europe, le stress serait également à l'origine de millions d'heures de travail perdues.

    On parle souvent du stress du manager ou des financiers, qui seraient soumis à des contraintes importantes. Mais, dans la réalité, ce ne sont pas ces professions qui sont les plus fatigantes ni les plus stressantes : les plus dangereuses, à cet égard, sont les métiers soumis à un environnement bruyant (mécanique, travaux du bâtiment, fonderie, etc.), routinier (travail à la chaîne), mais ceux-ci ont tendance à disparaître aujourd'hui. Sont aussi concernés les métiers supposant un investissement nerveux important de la personne : infirmière, instituteur, coursier, standardiste, contrôleur aérien.

    Tout ceci ne nous dit pas ce qu'est le stress. Il est vrai qu'il n'existe aucune définition admise par tous les médecins, et que, depuis cinquante ans, la conception du stress a beaucoup évolué.


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